Alix Tome 25 - E-book - PDF

C'était à Khorsabad

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Résumé

Comme tous les fidèles lecteurs d'Alix le savent, Khorsabad est l'endroit où ses aventures ont débuté il y a près de soixante ans. Ce vingt-cinquième tome est en quelque sorte un retour aux sources. Revenu dans l'antique cité de Khorsabad dans l'espoir de retrouver des parents disparus, Alix y retrouve Suréna, le général Parthe qui lui avait rendu la liberté, subjugué par le courage du jeune Romain.
Il y rencontre également le roi Orodès, qui lui dévoile deux magnifiques grands vases, l'un en or, l'autre en bronze. Alix doit ramener comme cadeau à César le vase en or, et lui transmettre le message suivant : que l'ambitieux général romain ne cherche jamais à envahir la Mésopotamie, sous peine de voir, une fois ses troupes défaites, le vase en bronze lui servir de sépulture éternelle. Dès lors, le précieux vase va devenir l'objet de toutes les convoitises.
Trahisons, attaque de pirates, coups de théâtre : que d'embûches et de rebondissements sur le chemin qui mène à Rome.

Caractéristiques

  • Date de parution
    27/11/2019
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-203-19738-1
  • EAN
    9782203197381
  • Format
    PDF
  • Nb. de pages
    50 pages
  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages
      50
    • Taille
      24 576 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos de l'auteur

Biographie de Jacques Martin

Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire.
Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique.
Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr.
La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou.
Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq.
Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont la première aventure, Le secret du Calumet fut directement publiée en album.
Vers la même époque, il signe encore une autre série humoristique dont la première histoire s'intitule Le Hibou gris et qui est prépubliée simultanément dans deux quotidiens belges. Reprise l'année suivante dans un hebdomadaire (Story), il lui donne une suite, Le Sept de Trèfle qui peut être considéré comme un premier brouillon de ce que sera La Grande Menace. Toujours dans ce même intervalle de temps, paraît La Cité fantastique, une bande dessinée ayant pour thème la guerre.
Dès 1946, Jacques Martin conçoit un projet de journal pour jeunes qu'il baptise Jaky. Malheureusement le numéro un de l'hebdomadaire Tintin est sur le point de sortir, réunissant une impressionnante brochette de grands auteurs. Jaky échoue au fond d'un tiroir. Tout en poursuivant ses collaborations à Bravo et à Story, Jacques Martin pose sa candidature au Journal de Tintin. C'est en 1948, qu'il crée le personnage d'Alix, le proposant aussitôt à Raymond Leblanc, futur directeur du Journal de Tintin.
Alix l'intrépide paraît en feuilleton dans le journal des 7 à 77 ans, à partir du 16 septembre 1948. En 1950, J Cédric Hervan est né à Uccle en 1981. Très vite attiré par la bande dessinée, il se plonge dans la lecture des albums de ses idoles : Juillard, Jacobs, Martin, Berthet,... Il suit simultanément une scolarité classique à Braine l'Alleud et fréquente les cours de l'atelier BD de l'espace Bernier à Waterloo.
Ce qui l'amène, en 1999, à rencontrer Jacques Martin qui lui confie, après divers travaux de couleur et de dessin, la réalisation de Persépolis, un album de la collection Les voyages d'Alix. Il illustre le quatrième volume des Aventures d'Orion, Le Roi des Rois. Christophe Simon est un familier de l'univers de Jacques Martin. Outre la mise en images de plusieurs albums d'Alix (C'était à Khorsabad, Le Démon du Pharos), il a également dessiné quelques histoires de Lefranc et les trois premières aventures d'Orion, le personnage de héros grec récemment repris par Marc Jailloux. Alors que certains sont tombés dans la potion magique quand ils étaient petits, on peut presque dire que François Maingoval est né au pays des Schtroumpfs.
A sa naissance, ses parents habitaient l'appartement loué précédemment par Peyo, et l'ancien atelier du créateur fût la première chambre de François. Est-ce de cela qu'est venue la passion de Maingoval pour la bande dessinée ? Toujours est-il qu'il écrivit ses premiers scénarios dès l'âge de 14 ans, et participa depuis lors à divers fanzines de bande dessinée. Il fut aussi créateur et rédacteur en chef de plusieurs d'entre eux, dont l'éphémère et unique numéro du magazine Impayable, publié par Graphic Strip, qui vit éclore quelques vedettes d'aujourd'hui.
C'est par chance qu'en 1998 il rencontra virtuellement Vincent Dutreuil sur Internet. Vincent cherchait un scénariste, et c'est par échange de mails qu'est née l'idée de l'album Les Spectres du Caire et de la série Ada Enigma. S'en suivirent plusieurs nouvelles séries, dont Barbara Wolf, avec Bruno Marivain (La Mémoire des Ogres), et un one-shot, Lovely Trouble. À ce jour, une dizaine d'albums ont été publié aux éditions Glénat et Dupuis.
En 2005, Maingoval a rejoint l'équipe de Jacques Martin. Il coécrit les scénarios d'Alix et d'Orion sur base des synopsis de ce grand maître de l'école belge.

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