Alix Tome 31 - E-book - PDF

L'ombre de Sarapis

Note moyenne 
À Rome, César vient d'apprendre qu'en Egypte, on a enlevé Césarion, le fils né de son union avec la reine Cléopâtre. Très inquiet, il délègue... Lire la suite
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Résumé

À Rome, César vient d'apprendre qu'en Egypte, on a enlevé Césarion, le fils né de son union avec la reine Cléopâtre. Très inquiet, il délègue Alix à Alexandrie pour enquêter sur cette disparition. Mais il semble que d'autres oreilles aient eu vent de ce projet. À Ostie en effet, d'où ils projettent de s'embarquer pour l'autre rive de la Méditerranée, Alix et Enak sont espionnés et suivis par des inconnus qui, pour toute indice de leur présence, abandonnent derrière eux une mystérieuse pierre gravée de facture égyptienne.
Plus tard, en mer, les deux amis sont à nouveau victimes de ceux qui les traquent : on tente ni plus ni moins de les assassiner ! Après avoir trompé leurs poursuivants, et finalement réussi à débarquer en Egypte, Alix et Enak optent pour la confrontation ouverte et demandent audience à Cléopâtre en personne, pressentant qu'elle n'est peut-être pas étrangère à tous les événements qu'ils viennent de traverser.
Après La Conjuration de Baal, voici, toujours dans un esprit de rigoureuse fidélité à l'ouvre et aux personnages de Jacques Martin, la trente et unième aventure d'Alix. Inédite, elle est animée par Marco Venanzi, déjà auteur du vingt-neuvième épisode de la série, et pour le scénario par François Corteggiani, qui fait ainsi son entrée dans l'univers d'Alix. et dans le catalogue Casterman.

Caractéristiques

  • Date de parution
    27/11/2019
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-203-19763-3
  • EAN
    9782203197633
  • Format
    PDF
  • Nb. de pages
    50 pages
  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages
      50
    • Taille
      19 046 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos des auteurs

Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire.
Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique.
Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr.
La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou.
Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq.
Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont la première aventure, Le secret du Calumet fut directement publiée en album.
Vers la même époque, il signe encore une autre série humoristique dont la première histoire s'intitule Le Hibou gris et qui est prépubliée simultanément dans deux quotidiens belges. Reprise l'année suivante dans un hebdomadaire (Story), il lui donne une suite, Le Sept de Trèfle qui peut être considéré comme un premier brouillon de ce que sera La Grande Menace. Toujours dans ce même intervalle de temps, paraît La Cité fantastique, une bande dessinée ayant pour thème la guerre.
Dès 1946, Jacques Martin conçoit un projet de journal pour jeunes qu'il baptise Jaky. Malheureusement le numéro un de l'hebdomadaire Tintin est sur le point de sortir, réunissant une impressionnante brochette de grands auteurs. Jaky échoue au fond d'un tiroir. Tout en poursuivant ses collaborations à Bravo et à Story, Jacques Martin pose sa candidature au Journal de Tintin. C'est en 1948, qu'il crée le personnage d'Alix, le proposant aussitôt à Raymond Leblanc, futur directeur du Journal de Tintin.
Alix l'intrépide paraît en feuilleton dans le journal des 7 à 77 ans, à partir du 16 septembre 1948. En 1950, J Illustrateur, Mathieu Barthélémy a travaillé aux côtés de Marco Venanzi pour la mise en images de l'une des dernières aventures d'Alix en 2012, L'Ombre de Sarapis. Marco Venanzi, de nationalité belge, évolue dans la bande dessinée depuis une quinzaine d'années. Dessinateur réaliste, il a notamment repris chez Glénat le personnage de Masque Rouge créé par André Juillard et Patrick Cothias, et réalisé la mise en images de cette série à partir du tome 4.
Il est également l'auteur, chez le même éditeur dans la collection Vécu, d'Hidalgos, réalisé en collaboration avec Michel Pierret. Né en septembre 1953 à Nice, François Corteggiani est l'un des auteurs les plus prolifiques de la bande dessinée franco-belge. Actif depuis la fin des années 1970, il est un collaborateur historique du Journal de Mickey et de Pif Gadget, dont il a été le rédacteur en chef lorsque ce magazine a tenté de se relancer en 2004.
Scénariste de De Silence et de sang, dessiné par Marc Malès, et de L'Ecole Abracadrabra (pour Pierre Tranchand), il a notamment repris la série La Jeunesse de Blueberry après la disparition de Jean-Michel Charlier. Après avoir scénarisé un album d'Alix (L'Ombre de Sarapis), il reprend la série Lefranc en 2015 avec l'album Mission Antarctique, mis en images par Christophe Alvès.

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