L'Or Tome 3 - E-book - PDF

Lilo ou le jaguar

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Résumé

Dans ce récit à suivre, L'Or, Stéphane Piatzszek et Frédéric Bihel, qui ont fait le voyage en Guyane, explorent le quotidien de ce lointain département français lacéré par l'orpaillage au début des années 2000. Un sujet encore tabou. Ce qui les a motivé c'est la façon dont l'or a brisé les communautés autochtones de cette France amazonienne. A travers les portraits des différents habitants, brossés avec une écriture précise et des dessins somptueux, se révèle une société trouble, violente et mystérieuse.
Les auteurs dévoilent la réalité de la jungle guyanaise, loin des clichés d'enfer ou de paradis, où si l'on trouve l'or les pieds dans la boue et la crasse, on peut aussi tout perdre, les mains souillées par le crime.

Caractéristiques

  • Date de parution
    09/03/2017
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-7548-2271-8
  • EAN
    9782754822718
  • Format
    PDF
  • Nb. de pages
    48 pages
  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages
      48
    • Taille
      58 788 Ko
    • Protection num.
      Contenu protégé
    • Transferts max.
      6 copie(s) autorisée(s)
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À propos des auteurs

Frédéric Bihel, 43 ans, vit à Evreux. Dessinateur de séries historiques ou d'heroic fantasy, on lui doit « Les Héritiers du soleil » (il y succède, pour le dessin, à Didier Convard à partir du tome 6, scénario de Didier Convard, puis de Thomas Mosdi, puis de lui-même, Glénat, huit volumes, 1994 à 2002), « Malienda » (scénario de Thomas Mosdi et de Xavier Josset, Glénat, trois volumes, 2001 à 2003), « Le Secret de l'Arche » (scénario de frère Samuel, Glénat, 2004 et 2006).
En 2006, il publie un volume unique L'Afghan Massoud, album qu'il réalise pour la première fois en couleurs directes (scénario de Maryse et Jean-François Charles, Casterman). Stéphane Piatzszek n'a pas toujours vécu à Paris, mais en banlieue, toute son enfance. Et il a haï la banlieue, "ce No man's land de laideur qui n'est ni la grande ville, ni la campagne". Bref, il y était malheureux. Au départ, il voulait être flic...
Alors, il a fait du droit. Mais du fait d'un léger problème avec l'autorité, plus il vieillissait, moins il se voyait flic... Il a bossé quelques années au théâtre, mais le milieu crevait, il manquait d'air alors il a pensé que ce n'était pas là non plus qu'il fallait aller... Il est finalement devenu prof pour gagner sa croûte, en plein milieu d'une cité H. L. M. du Val de Marne, un coin très pauvre.
Au bout de cinq ans, il a jeté l'éponge, pas à cause des mômes, durs mais sympas et débrouillards pour la plupart, mais de ses collègues qui lui sortaient par les trous de nez... Et puis, il était, selon ses propres termes, un pédagogue catastrophiques. Il était également à cette époque journaliste de presse économique, mais là encore, c'est une vocation et il ne l'avait pas. Comme il écrivait bien, il a fait des rencontres et travaillé mais là encore, mieux valait aller voir ailleurs : plus personne ne lit la presse, juste des journalistes et ils sont de moins en moins nombreux...
Aujourd'hui, il n'est plus du tout journaliste... Faut choisir : ou tu es du côté de la production, ou de ceux qui la commentent. Ceux qui font les deux te disent : "il faut bien vivre"... À quoi il leur répond : "je ne vois pas la nécessité...". Là-dessus, il fait figure d'intégriste, mais il a vu trop d'abus. Quand il était journaliste de cinéma, des collègues écrivaient les fascicules de DVD, ça le choquait...
Comment tu mords la main qui te nourrit ? Il est finalement allé vers la BD parce qu'un scénariste y a une liberté formidable ! On peut aller très loin, chauffer son histoire au rouge, sans vraiment se cogner à la censure, aux standardisations de tous poils et aux contraintes économiques. Si, en France, un scénariste dit à un producteur télé ou ciné : "j'ai une idée formidable, il suffit de créer une planète en studio et de..." avant qu'il ait fini sa phrase, des vigiles le foutront par la fenêtre.
Et puis il aime le boulot avec le dessinateur et l'éditeur, parce que c'est de l'artisanat. Les auteurs peuvent polir leur petit bijou dans leur coin, en secret...

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