Un amour exemplaire - Première édition - E-book - PDF

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Quand il était gosse, Daniel Pennac passait ses vacances à La Colle-sur-Loup, sur la Côte d'Azur. Soleil, figuiers et grande treille sous laquelle... Lire la suite
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Résumé

Quand il était gosse, Daniel Pennac passait ses vacances à La Colle-sur-Loup, sur la Côte d'Azur. Soleil, figuiers et grande treille sous laquelle on joue à la pétanque. C'est là qu'avec son frère Bernard il fait la rencontre de Jean et Germaine : lui, grand chauve façon héron ; elle, maigre, rose et rieuse. Toujours de bonne humeur, ils intriguent avec leur joie de vivre. Pas d'enfants, pas de boulot, Jean et Germaine vivent un amour sans intermédiaire, un amour sédentaire, un amour exemplaire !

Caractéristiques

  • Date de parution
    27/02/2017
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-205-18891-2
  • EAN
    9782205188912
  • Format
    PDF
  • Nb. de pages
    64 pages
  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages
      64
    • Taille
      51 159 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos des auteurs

Daniel Pennac, de son vrai nom Daniel Pennacchioni, est né le 1er décembre 1944 à Casablanca, au Maroc. Il est le quatrième et dernier d'une tribu de garçons. Son père est militaire. La famille le suit dans ses déplacements à l'étranger etndash;Afrique, Asie, Europeetndash; et en France, notamment dans le village de La Colle-sur-Loup, dans les Alpes-Maritimes. Quand il évoque son père, il l'assimile à la lecture : « Pour moi, le plaisir de la lecture est lié au rideau de fumée dont mon père s'entourait pour lire ses livres.
Et il n'attendait qu'une chose, c'est qu'on vienne autour de lui, qu'on s'installe et qu'on lise avec lui, et c'est ce que nous faisions. » Daniel passe une partie de sa scolarité en internat, ne rentrant chez lui qu'en fin de trimestre. De ses années d'école il raconte : « Moi, j'étais un mauvais élève, persuadé que je n'aurais jamais le bac. » Toutefois, grâce à ses années d'internat, il a pris goût à la lecture.
On n'y permettait pas aux enfants de lire, comme il l'évoque dans "Comme un roman" : « En sorte que lire était alors un acte subversif. À la découverte du roman s'ajoutait l'excitation de la désobéissance... ». Ses études de lettres le mènent à l'enseignement, de 1969 à 1995, en collège puis en lycée, à Soissons et à Paris. Son premier livre, écrit en 1973 après son service militaire, est un pamphlet qui s'attaque aux grands mythes constituant l'essentiel du service national : l'égalité, la virilité, la maturité.
Il devient alors Daniel Pennac, changeant son nom pour ne pas porter préjudice à son père. En 1979, Daniel Pennac fait un séjour de deux ans au Brésil, qui sera la source d'un roman publié vingt-trois ans plus tard: Le Dictateur et le hamac. Dans la Série Noire, il publie en 1985 Au bonheur des ogres, premier volet de la saga de la tribu des Malaussène (dont on retrouvera le « petit » dans L'idée du siècle).
Daniel Pennac continue sa tétralogie avec La Fée Carabine puis La petite marchande de prose et Monsieur Malaussène (il y a ajouté depuis Aux fruits de la passion). Il diversifie son public avec une autre tétralogie pour les enfants, mettant en scène des héros proches de l'univers enfantin, préoccupé par l'école et l'amitié : l'agence Babel, Kamo et moi, L'évasion de Kamo et Kamo, l'idée du siècle.
Ces romans sont-ils le fruit de souvenirs personnels ? « Kamo, c'est l'école métamorphosée en rêve d'école, ou en école de rêve, au choix. » À ces fictions s'ajoutent d'autres types d'ouvrages : un essai sur la lecture, Comme un roman, deux ouvrages en collaboration avec le photographe Robert Doisneau et La débauche, une bande dessinée, avec Jacques Tardi. Il a mis fin en 1995 à son métier d'enseignant pour se consacrer entièrement à la littérature.
Toutefois, il continue d'avoir un contact avec les élèves en se rendant régulièrement dans les classes. Florence Cestac est un grand nom de la bande dessinée franco-belge. Fondatrice des éditions Futuropolis en 1975 et créatrice du personnage d'Harry Mickson, elle collabore également aux tout premiers débuts de magazines cultes, tels que 'Pilote', 'L'Écho des savanes' ou encore 'Charlie Mensuel', et travaille avec de nombreux auteurs et scénaristes, comme Tonino Benacquista ou René Pétillon.
Tout au long de sa carrière, elle obtient de nombreuses récompenses, dont l'Alph'art de l'humour du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, qu'on lui décerne à deux reprises, notamment pour l'album "Le Démon de midi" (1996, Dargaud) en 1997. Florence Cestac est née un 18 juillet 1949 à Pont-Audemer. Après une scolarité modeste (pas de diplômes trop voyants), elle intègre, en 1965, les Beaux-Arts de Rouen puis, en 1968, les Arts décoratifs de Paris. Elle dessine pour 'Salut les copains', 'Lui', '20 ans', et rencontre Étienne Robial, avec lequel elle ouvre, en 1972, la première librairie de bande dessinée parisienne et fonde, en 1975, les éditions Futuropolis.
Dans le feu de l'action, elle devient maquettiste, emballeuse, livreuse, photograveuse, traductrice, nounou d'auteurs, attachée de presse et directrice de collection. Elle voit défiler dans son bureau toutes sortes de jeunes talents en friche, et racontera, avec Jean-Marc Thévenet, cette expérience enrichissante dans un livre intitulé "Comment faire de la bédé sans passer pour un pied nickelé" (1988, Futuropolis). Parallèlement, elle crée le personnage d'Harry Mickson : une sorte de haricot (le haricot dodu du cassoulet, pas le modèle de régime) vêtu d'une salopette-short d'où émergent quelques bras et jambes caoutchouteux, un gros nez et un béret directement vissé à la cervelle.
Ce rejeton illégitime de Mickey Mouse, qui se balade dans '(À SUIVRE)', 'Métal hurlant' et 'Charlie', est promu mascotte de Futuropolis et du Mickson BD Football-Club. Elle reçoit en 1989 l'Alph'art de l'humour du festival d'Angoulême pour "Les Vieux Copains pleins de pépins" (1989, Futuropolis), et crée les aventures de Gérard Crétin dans 'Mikado'. Dans 'Le Journal de Mickey', elle transforme la rubrique jeux des Déblok en bande dessinée. En 1997, elle récolte un deuxième Alph'art de l'humour pour "Le Démon de midi" (1996, Dargaud), hilarante tragédie post-conjugale où l'on voit un quadragénaire quitter son épouse usagée pour une autre, plus fraîche.
Ce chef-d'oeuvre d'humour vache, désarmant de franchise, est adapté au théâtre par Michèle Bernier et Marie-Pascale Osterrieth, où il connaît un énorme succès. Inondant la presse ('Play-Boy', 'Cosmopolitan', 'L'Hebdo des juniors', 'Quo', etc.) de ses dessins humoristiques, elle rapatrie la famille Déblok chez Dargaud en 1997. En 1998 paraît "La Vie en rose" (Dargaud), album retraçant la jolie vie de Noémie, monomaniaque du ravissement.
En 1999, dans le genre projection des diapos de vacances, c'est "Du sable dans le maillot"(Dargaud) et, en 2000, "Les Phrases assassines" (Verticales), avec Véronique Ozanne - un recueil cruel et tordant de ces petits mots doux qui vous envoient un môme en analyse pour quinze ans. D'autre part, depuis 1993, Florence expose ses oeuvres hors BD (souvent en trois dimensions) à la galerie Christian Desbois. En 2000, elle reçoit le grand prix de la ville d'Angoulême, ce qui fait d'elle la présidente du festival en 2001, avec un jury presque exclusivement féminin, une rétrospective passionnante de son oeuvre et un discours de Charlie Schlingo depuis le balcon de la mairie - du grandiose.
Chez Dargaud, elle publie, en 2002, "La Vie d'artiste" (autobiographique à quelques broutilles près) et, en 2004, "Super catho" (récit d'une enfance catho dans la Bretagne des années 1950), sur un scénario de René Pétillon. En 2005, alors que "Le Démon de midi" est porté à l'écran, elle lui donne une suite finement intitulée "Le Démon d'après midi" (Dargaud). En 2007, elle publie "La Véritable Histoire de Futuropolis" (Dargaud), où elle narre la fabuleuse aventure éditoriale et humaine de la première librairie de bande dessinée, ouverte en 1972, devenue ensuite une maison d'édition hors norme - et dont elle fut l'un des piliers.
En 2009, elle publie, avec Jean Teulé, une biographie posthume sur la vie de Charlie Schlingo ("Je voudrais me suicider mais j'ai pas le temps", Dargaud). L'année 2010 voit l'apparition du volume 4 de la série "Les ados" (Dargaud) qui se moque gentiment de l'âge ingrat. Dernièrement, Florence Cestac a travaillé avec Nadège Beauvois Temple sur l'album "On va te faire ta fête, maman !" (Dargaud).
Sorti en avril 2011, ce recueil de 100 dessins a pour vocation de faire rire autour du thème de la grossesse et des maladresses de l'entourage qui, souvent, l'accompagnent. En 2011 également paraît "Des salopes et des anges" (Dargaud), une histoire imaginée avec Tonino Benacquista. Et, en 2013, c'est seule que Florence Cestac publie l'incroyable "Le Démon du soir ou la Ménopause héroïque" (Dargaud). En 2015 sort "Un amour exemplaire" (Dargaud), scénarisé par Daniel Pennac, qui connaît une adaptation au théâtre du Rond-Point en 2018. En 2016, elle sort le premier tome de "La Fille des oiseaux" (Dargaud), dont la suite et fin sort en 2018.

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