Ce que j'ai voulu taire - Poche

Name: Ce que j'ai voulu taire
Price: 7.9 EUR
Availability: Instock
Author: Sándor Márai
ISBN: 9782253069348

Sándor Márai

Catherine Fay

(Traducteur)

Note moyenne

Donner le premier avis

Extrait

Feuilleter

Construit autour de deux dates - le 12 mars 1938, lorsque l'Allemagne nazie annexe l'Autriche, et le 31 août 1948, lorsque l'écrivain et sa famille... Lire la suite

7,90 €

Poche
- Ce que j'ai voulu taire
  Paru le : 05/10/2016
  
  Expédié sous 3 à 6 jours
  
  7,90 €
Ebook
- Ce que j'ai voulu taire
  ePub
  
  Paru le : 03/11/2014
  
  Téléchargement immédiat
  
  6,49 €
Grand format
- Ce que j'ai voulu taire
  Paru le : 29/10/2014
  
  Expédié sous 3 à 6 jours
  
  18,00 €

Poche 7,90 € Ebook 6,49 € Grand format 18,00 € Voir tous les
formats

Expédié sous 3 à 6 jours

Livré chez vous entre le 30 avril et le 2 mai

En magasin

Construit autour de deux dates - le 12 mars 1938, lorsque l'Allemagne nazie annexe l'Autriche, et le 31 août 1948, lorsque l'écrivain et sa famille quittent la Hongrie, désormais pays satellite de l'URSS -, ce récit mêle confession intime et analyse historique. Sándor Márai ausculte une société tiraillée entre désir d'indépendance et rêve de grandeur nationale qui va finir par servir l'Allemagne nazie.
Longtemps présumé perdu avant d'être retrouvé et de paraître en 2013 à Budapest, Ce que j'ai voulu taire constitue le dernier volet inédit des Confessions d'un bourgeois et est un véritable réquisitoire contre le fascisme et la barbarie.

Date de parution

05/10/2016
Editeur

LGF/Livre de Poche
Collection

Le Livre de Poche Biblio
ISBN

978-2-253-06934-8
EAN

9782253069348
Format

Poche
Présentation

Broché
Nb. de pages

224 pages
Poids

0.136 Kg
Dimensions

11,0 cm × 17,8 cm × 1,1 cm

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

Biographie de Sándor Márai

Né en Hongrie en 1900, Sándor Márai connaît dès ses premiers romans un immense succès. Antifasciste déclaré dans une Hongrie alliée à l'Allemagne nazie, il est pourtant mis au ban par le gouvernement communiste de l'après-guerre. En 1948, il s'exile et part pour les Etats-Unis où il mettra fin à ses jours en 1989. Depuis une dizaine d'années, il jouit dans le monde entier d'une réputation égale à celle de Zweig, Roth ou Schnitzler.