La Fille qu'on appelle

• témoignage
• pouvoir
• emprise
• consentement

Héros local par la boxe et chauffeur du maire, Max glisse entre les pattes gluantes de son patron sa fille qui vient de revenir en ville. Que doit-on faire lorsqu'une demande d'un service banal alimente les dérives libidineuses d'hommes d'autorité. Une écriture fine qui tend vers la colère, une histoire de père et fille mais aussi une histoire qui s'accroche à la fragile notion, en droit, du consentement. Tanguy Viel dans sa constance nous accroche et nous déconcerte.

Roman noir qui n'est pas sans rappeler bien sûr certains scandales politiques et qui pose très habilement les questions du trafic d’influence et de l’abus de faiblesse. Un homme politique puissant, maire et bientôt ministre, reçoit une jeune fille qui lui demande son aide pour obtenir un logement. Une chose entraînant une autre, elle en vient à lui "offrir" des faveurs sexuelles. Tanguy Viel réussit le tour de force de décortiquer le mécanisme et les ambiguïtés des relations sous emprise que peuvent parfois entretenir les hommes de pouvoir avec des personnes fragiles et en détresse psychologique.

Roman noir qui n'est pas sans rappeler bien sûr certains scandales politiques et qui pose très habilement les questions du trafic d’influence et de l’abus de faiblesse. Un homme politique puissant, maire et bientôt ministre, reçoit une jeune fille qui lui demande son aide pour obtenir un logement. Une chose entraînant une autre, elle en vient à lui "offrir" des faveurs sexuelles. Tanguy Viel réussit le tour de force de décortiquer le mécanisme et les ambiguïtés des relations sous emprise que peuvent parfois entretenir les hommes de pouvoir avec des personnes fragiles et en détresse psychologique.

Laura, une belle jeune femme de vingt ans, revient dans la ville où elle a passé son enfance. Son père Max Le Corre, un ancien boxeur qui s'apprête à faire un come-back retentissant à plus de 40 ans, est le chauffeur du maire de la ville. En conseillant à sa fille de demander l'appui de ce dernier pour obtenir un logement, Max ne sait pas qu'il va la jeter dans la gueule du loup. Ce roman construit comme un polar est d'une actualité brûlante puisqu'il traite du consentement. Tanguy Viel dévoile, par petites touches, les bassesses et l'avidité des hommes de pouvoir prêts à tout pour jouir de la faiblesse des autres.