En cours de chargement...
Les personnages de ce roman ont vraiment existé. A Vienne, en 1777, on fête le génie de Mozart, mais bientôt un autre sujet s'empare des conversations. Le célèbre Dr Mesmer, un magnétiseur aux pouvoirs énigmatiques, tente de soigner la cécité de Maria Theresia Paradis, jeune prodige du piano et fille d'un important fonctionnaire à la cour. Si Mesmer réussit, ses méthodes insolites seront enfin reconnues par les plus hautes sphères de la société viennoise.
Lorsque la jeune fille recouvre en partie la vue, tout en inquiétant ses parents par ses désirs de liberté, soupçons et jalousies vont bon train. Roman riche et poignant, Au commencement la nuit était musique parle de maladie, de recherche personnelle, de musique, et de ce mystérieux fluide circulant entre les êtres qui favorise l'harmonie, la création, la vie - et finalement la santé. Un sujet fort et une langue attentive, parfois très poétique, font de ce roman une oeuvre aussi sensuelle que musicale.
AU COMMENCEMENT LA NUIT ETAIT MUSIQUE
Vienne 1977, va être amené auprès du docteur Mesmer, le premier magnétiseur de l’histoire, une jeune fille aveugle depuis l’âge de 3 ans. Maria a un don pour le piano !
Ses parents, grand bourgeois proches de la cour, on déjà fait subir à leur fille différents traitements qui se sont avérés inutiles, mais également stupides.
Mesmer va la guérir partiellement, mais va également lui ouvrir « les yeux » sur l’esprit étriqué et surtout malsain de ses parents. Et vont se nouer des rapports ambigus entre ces deux êtres. Mais malheureusement le jeu de la jeune fille va s’en faire ressentir. Les parents vont donc décider d’arrêter ce traitement. Rentrée à la maison, sa vue va bien entendu se dégrader. Et ses parents vont pouvoir bien entendu « l’exhiber » à nouveau comme une bête de foire.
Roman sur la maladie, la musique, la liberté, sur les rapports humains…