Pendant tout le livre je n'ai pas arrêté de rager contre les personnages: trop impuissants, trop candides, trop idiots, trop too much.
Ma lecture était ponctuée de : "mais quel(le) naze", "ah je le(la) déteste", "mais pourquoiiiiii tu fais çaaaaa ?", etc.
Et à la question :"pourquoi tu continues de lire ce livre alors?" qu'on m'a posée régulièrement , je répondais : "parce queeeeeeeeeeee!"
Parce que Karine a le truc, LE truc qui fait que tu veux savoir, tu restes scotché au livre, c'est addictif. Et puis c'est l'une des seules qui me fait réagir aussi intensément avec ses personnages.
Alors juste pour ça, allez y !
Glaçant du début à la fin, mais on a l'habitude avec Karine Giebel
Terminé les histoires de séquestration ou de braquage, Karine Giebel écrit là une histoire "d'amour" corrosive, avec en toile de fond le syndrome de Stockholm.
C'est puissant, dérangeant et révoltant, un sacré moment de lecture !
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