Dégustations zygophiles - L'almanach de la bonne humeur

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Jean-Paul Rouland - Dégustations zygophiles - L'almanach de la bonne humeur.
Jean-Paul Rouland a mis 7 ans pour écrire, peindre, assembler cette oeuvre qui est un pied de nez au modernisme à tout crin. Il est sorti d’une retraite... Lire la suite
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Résumé

Jean-Paul Rouland a mis 7 ans pour écrire, peindre, assembler cette oeuvre qui est un pied de nez au modernisme à tout crin. Il est sorti d’une retraite active avec sous le bras et l’éternelle moustache un manuscrit, dans le sens noble du terme, une sorte d’almanach de la bonne humeur où il associe joliment plume et, poil. Au programme : peintures, anecdotes, histoires vraies, curiosités de la nature, jeux de connaissance et de mots.
«Il faut un an pour lire cette oeuvre qui est remboursée par la Sécurité Joviale !» se plaît à dire l’artiste. Alors, atrabilaires et ronchons s’abstenir.

Caractéristiques

  • Date de parution
    10/03/2000
  • Editeur
  • ISBN
    2-913574-01-7
  • EAN
    9782913574014
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    97 pages
  • Poids
    0.38 Kg
  • Dimensions
    19,0 cm × 28,0 cm × 0,7 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Jean-Paul Rouland

Jean-Paul Rouland a atterri sur la planète Terre le lundi de Pentecôte 1928 à Saint Sauveur le Vicomte, en plein Cotentin. Au début des années 50, il fait son entrée dans une équipe de «jeunes loups» dont Pierre Bellemare avec qui, en 58, il créa Técipress d’où sortiront, entre autres, «la tête et les jambes», «le bon numéro», «la caméra invisible», et tiendra le micro d’Europe 1 tous les midis vingt ans de suite.
Insomniaque, il écrira pour le théâtre («Reviens dormir à l’Elysée»), pour la télé (des feuilletons comme «Les 7 de l’escalier 15», «Nanou» ou «La pendule») ainsi que des polars dont «Le frelon» qui donnera au cinéma «Tendre poulet» avec Noiret et Girardot. «Fin 88, à 60 ans, je suis parti avant qu’on me vire. J’aspirais au calme !» explique cet homme heureux qui a trouvé sa voie dans la peinture et l’écriture zygophiles.
«Au bout de 35 ans de course folle, je me suis aperçu que je n’avais vendu que du vent et, dans ma dernière ligne droite, j’ai voulu laisser une trace, celle d’un compagnon du sourire» avoue-t-il.

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