La chèvre de monsieur Seguin - Album

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Alphonse Daudet et Arnaud Madelénat - La chèvre de monsieur Seguin.
Ah, qu'elle était jolie, la petite chèvre de monsieur Seguin. Qu'elle était jolie avec ses yeux doux, ses cornes zébrées, ses sabots noirs luisants... Lire la suite
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Résumé

Ah, qu'elle était jolie, la petite chèvre de monsieur Seguin. Qu'elle était jolie avec ses yeux doux, ses cornes zébrées, ses sabots noirs luisants et ses longs poils blancs. Un amour de petite chèvre... Ah, qu'elle était têtue, la petite chèvre de monsieur Seguin ! Qu'elle était têtue à vouloir quitter son pré pour aller gambader dans la montagne, sans prendre garde au loup qui l'attendait patiemment en se léchant les babines...
Ecoutez bien l'histoire de la chèvre de monsieur Seguin et voyez ce que l'on gagne à être capricieux !

Caractéristiques

  • Date de parution
    20/10/2003
  • Editeur
  • ISBN
    2-210-98957-4
  • EAN
    9782210989573
  • Format
    Album
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    58 pages
  • Poids
    0.525 Kg
  • Dimensions
    28,0 cm × 23,6 cm × 0,8 cm

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À propos des auteurs

Alphonse Daudet naît en 1840 à Nîmes, aux portes de la Provence, où il passe une enfance heureuse. Mais le départ de la famille pour Lyon, une dizaine d'années plus tard, à cause de la faillite familiale, marque le début des souffrances d'Alphonse, qui ne supporte ni la pauvreté de sa famille ni la pluie... Il aura d'ailleurs besoin, tout au long de sa vie, de faire des voyages fréquents dans le Midi, en Provence, mais aussi en Corse ou en Algérie, de retrouver cette atmosphère solaire qui lui plaît tant.
Le Midi cher à son enfance reste d'ailleurs, avec le petit peuple, notamment décrit dans les Contes du lundi, l'une de ses sources d'inspiration les plus fécondes. Mais Daudet, même s'il mène une vie de bohème assez misérable et contracte très tôt la syphilis, veut faire une véritable carrière littéraire. Il souffre d'être enfermé dans une image d'auteur provençal et ceci, dès 1866, quand paraissent les premières Lettres de mon moulin.
Il diversifie alors ses écrits, grâce à l'écriture des pièces de théâtre, comme L'Arlésienne (1872) ou La Lutte pour la vie (1889), de romans comme Tartarin de Tarascon (1872), Le Petit Chose (1868) ou encore Jack (1876), dans lequel le récit, très réaliste, décrit les milieux ouvriers, provinciaux et parisiens... Ainsi, il est bien souvent un précurseur dans le choix de ses sujets : avant Zola, il parle du peuple et témoigne contre une société basée sur le mensonge.
Son talent est de savoir mêler les genres, les thèmes, mais aussi les tons : il joint comme Dickens l'humour à la pitié, et son oeuvre est pleine d'émotion, de fantaisie, et d'observations remarquables. Toutes ces nuances se retrouvent dans ses Contes. Les Lettres de mon moulin grouillent d'animaux humanisés, de religieux, d'enfants, de personnages tous différents ; ça sent bon la lavande, le thym, le romarin et la farigoulette...
Ces contes sont un véritable hommage à la Provence comme les Contes du lundi sont un hommage à la France. On y voit combien Daudet aime décrire les lieux, les gens, les choses simples mais belles, qu'il sait "donner à voir". Daudet meurt à Paris le 16 décembre 1897.

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