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Après le magistral premier tome de la nouvelle trilogie explosive du maître du polar Don Winslow, La Cité en flammes, voici le deuxième volume aussi épique et ambitieux, La Cité des rêves. La guerre des gangs sur la côte Est s'est transformée en massacre, et l'Irlandais Danny Ryan n'a d'autre choix que de fuir loin de Providence. Pègre, cartels, FBI, les ennemis ne manquent pas. Pour leur échapper, il tente sa chance en Californie avec son fils, son père vieillissant et quelques fidèles rescapés de sa bande.
Il n'aspire qu'à une chose : mener enfin une vie paisible, en toute légalité. Mais les fédéraux le rattrapent et lui demandent une faveur inattendue, qui fera de lui un homme riche. Ou mort. Après La Cité en flammes, Don Winslow, maître incontesté du polar, nous offre ici le deuxième volet de sa prodigieuse trilogie, entre redoutables cartels de la drogue et studios hollywoodiens. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Jean Esch A propos de l'auteur Don Winslow est l'auteur de vingt-deux best-sellers internationaux, dont Corruption, Savages et L'Hiver de Frankie Machine.
Sa trilogie de La Griffe du chien, Cartel et La Frontière est en cours d'adaptation série par la chaîne FX. Il vit aujourd'hui entre la Californie et le Rhode Island. " Winslow signe ici un roman somptueux, une Cité des rêves prête à achever les vôtres. " Julie Malaure, Le Point " Jouant avec le mythe américain de la seconde chance, Winslow frappe fort, encore. " Hubert Prolongeau, Le Parisien Week-End "Un auteur qui a porté le polar aux sommets".
Paris Match "Une épopée du flingue et de la traîtrise, où la noblesse des sentiments se double d'une impitoyable lutte de pouvoir". L'Obs " Dans la plus pure tradition de l'Ouest américain, il part à Hollywood dans La Cité des rêves, savoureuse saga itinérante où les mafieux se retrouvent confrontés à leurs doubles sur pellicule. " Isabelle Lesniak, Les Echos " Ces 400 pages sont un alliage (revendiqué) d'épopée homérique et de romande gangster.
On y retrouve le style unique de Winslow, son art de la digression, ses dialogues au cordeau, sa plume à haute teneur émotive. [... ] Un Winslow égal à lui-même. " Hubert Artus, LiRE magazine littéraire