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Le corps d'un vagabond, Litsoï, est retrouvé sur la terrasse d'une casemate. Un de ces vestiges de la Deuxième Guerre mondiale construits par les nazis au bord de la mer Noire. Dix ans plus tard, trois hommes disparaissent en explorant ce bâtiment. L'enquête mène sur la voie d'un bordel flottant, d'un village lipovène perdu dans les bras du Danube, et d'une malédiction qui rend les hommes impuissants...
La Femme qui a mangé les lèvres de mon père est un peu les Mille et Une Nuits du Danube. Dans un univers où s'affrontent la mélodie sacrée de la Nature et l'apocalypse du béton, ressurgissent les figures mythiques et le merveilleux de l'enfance, à mi-chemin du Joueur de flûte de Hamelin et des mondes de Miyazaki. Un texte porté par les eaux, par l'histoire et par un bestiaire omniprésent, qui met en scène le retour à l'Ile primordiale.
Nouvel Attila
Il faut découvrir ce roman étonnant à mi-chemin entre policier sanglant et conte de fées -troublantes - que le Nouvel Attila, fidèle à son goût pour les beaux textes nous donne à savourer. Intrigue décapante, personnages fascinants, langue admirablement rendue par une traduction inspirée.
La couverture est un enchantement !