En 1857, Victor HUGO signalait dans " La légende des Siècles ", le lien qui, dans sa pensée, rattachait son poème à deux autres poèmes presque alors...
Lire la suite
En 1857, Victor HUGO signalait dans " La légende des Siècles ", le lien qui, dans sa pensée, rattachait son poème à deux autres poèmes presque alors achevés, qui en étaient l'un de dénouement, l'autre le commencement, " La Fin de Satan ". Notamment il ajoutait lui-même : " L'auteur ne voit aucune difficulté à faire entrevoir dès à présent, qu'il a esquissé dans la solitude une sorte de poème d'une certaine étendue où se réverbère, à son sens, le problème unique, l'Etre, sous sa triple face : l'Humanité, le Mal, l'Infini ; le progressif, le relatif, l'absolu ; en ce qu'on pourrait appeler trois chants : La Légende des Siècles, la Fin de Satan, Dieu ".