Pour Mary Haskell, l'éternelle aimée, Khalil Gibran conserve tous les mots qu'il griffonne sur de petits bouts de papier ou dans son carnet. En 322...
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Pour Mary Haskell, l'éternelle aimée, Khalil Gibran conserve tous les mots qu'il griffonne sur de petits bouts de papier ou dans son carnet. En 322 aphorismes, il compose un recueil d'images et de pensées qui constituent la part la plus intime du poète, un autoportrait fragmentaire qu'il dédie à celle qui n'a pas voulu l'épouser. " Bien que dans ces grains de sable j'aie semé les grains de mon cœur et que sur son écume, j'aie versé la quintessence de mon âme, ce recueil est, et restera à jamais, plus près des rivages que de la mer, du désir limité que du désir accompli. "