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A Wick, aux confins de l’Ecosse, une bouteille en verre dépoli traine depuis des années sur le rebord d’une fenêtre du commissariat. A l’intérieur, une lettre que personne n’a remarquée. Et quand on l’ouvre enfin, personne ne se préoccupe non plus de savoir pourquoi les premiers mots, Au secours, sont écrits en lettres de sang et en danois… La lettre finit par arriver sur le bureau des affaires classées de Copenhague où l’inspecteur Carl Mørck croit à une mauvaise plaisanterie.
Mais quand Carl et ses assistants, Assad et Rose, commencent à déchiffrer le message, ils réalisent qu’il a été écrit par un jeune garçon enlevé avec son frère dans les années 90. Cet SOS serait leur dernier signe de vie. Qui étaient-ils ? Pourquoi leur disparition n’a-t-elle jamais été signalée ? Sont-ils encore en vie ? Carl et Assad progressent lentement dans l’univers glacé et calculateur du kidnappeur pour découvrir que le monstre est encore en activité.
Haletant jusqu'au bout
Encore une enquête rondement menée. On suit une timeline différente de chapitres en chapitres mais le lecteur n'est jamais perdu car tous les éléments sont parfaitement en place pour s'y repérer.
Une enquête du département V cela bouleverse tout le temps et une fois de plus ce fut le cas avec une affaire sur un enlèvement d'enfants. Mais gratter la surface peut révéler beaucoup plus en dessous.
Carl et Assad forment toujours un duo hétéroclite et qui fonctionne parfaitement par leurs différences. Un duo d'enquêteurs que j'aime particulièrement.