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Un jour, à l'approche de la quarantaine, Paul Osterman décide d'abandonner son métier d'éditeur. Cet Européen exilé aux Etats-Unis se consacrera désormais à des occupations autrement plus gratifiantes, telles que la migraine ophtalmique, le délit de fuite, la dépréciation de soi-même. Mais est-il vraiment sûr d'y trouver son compte ? Ses relations avec les femmes sont à l'image des rapports qu'il entretient avec lui-même : décousues, intermittentes, ponctuées de tragédies que le lecteur hésite à prendre tout à fait au sérieux.
Il est relativement simple d'être malheureux. Accumuler les avanies en demeurant parfaitement insouciant demande par contre un talent rare.
Vive Dubois !
Un homme patiente sur un banc d'hôpital.
Voilà bien longtemps qu'il ne se fait plus d'illusions sur lui même.
Cet homme est encore plus déprimé que je ne le suis.
Il pense qu'il a quelque chose de mauvais en lui mais il ignore quoi.
Pendant qu'il attend, il se remémore les deux femmes qui ont bousculés sont existences.
L'une était la bonté incarnée, l'autre le diable en personne...
Une lecture un peu triste mais qui paradoxalement fait beaucoup de bien !
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