Promenades dans Rome - Illustré par les peintres du Romantisme

Philippe Berthier

(Préfacier)

,

Victor Del Litto

(Annotateur)

Note moyenne 
 Stendhal - Promenades dans Rome - Illustré par les peintres du Romantisme.
"Second volume des Voyages en Italie, Promenades dans Rome vient compléter l'aventure artistique et culturelle commencée quelques années plus tôt... Lire la suite
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Résumé

"Second volume des Voyages en Italie, Promenades dans Rome vient compléter l'aventure artistique et culturelle commencée quelques années plus tôt avec Rome, Naples et Florence. Cette fois, Stendhal a été conquis par la Ville éternelle au point de se lancer dans la rédaction d'un guide de voyage, recueil de "sensations du moment". Il laisse le lecteur libre de le suivre dans ses innombrables digressions et descriptions, son seul but étant de susciter "une émotion de curiosité que rien ne peut arrêter", en évitant de défaillir face à tant de beauté - le célèbre syndrome stendhalien.
Une façon exceptionnelle de se plonger dans la vie romaine" - Diane De Selliers.

Caractéristiques

  • Date de parution
    20/10/2011
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-903656-71-3
  • EAN
    9782903656713
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    476 pages
  • Poids
    1.657 Kg
  • Dimensions
    19,4 cm × 25,7 cm × 4,0 cm

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À propos de l'auteur

 Stendhal

Biographie de Stendhal

Né à Grenoble le 23 janvier 1783, Henry Beyle, plus connu sous le pseudonyme de Stendhal, est l’un des plus grands romanciers français du XIXe siècle. En révolte contre son père et son précepteur, il s’installe à Paris où il renonce à préparer le concours d’entrée à l’Ecole Polytechnique. Son ambition est de devenir écrivain. Il accepte pourtant sa nomination de sous-lieutenant de Cavalerie, qu’il obtient grâce à la protection de son cousin Martial Daru.
Il s’engage alors dans l’armée de Bonaparte au sein de laquelle il découvre l’Italie avec émerveillement. Quelques années plus tard, lassé de la vie militaire il abandonne l’armée et devient auditeur au Conseil d’Etat. L’écriture ne le quittera jamais et c’est naturellement, et simultanément, qu’il écrit, entre autre, sur ce pays qu’il considère désormais comme le sien. Dès 1811, il part pour l’Italie et se rend à Milan.
Au mois de septembre, il décide de visiter Bologne, Rome, Florence et Naples. Ses premiers voyages en Italie lui inspirent la rédaction de l’Histoire de la peinture en Italie, qu’il reprendra quelques années plus tard et pour laquelle il s’inspire très largement des nombreux écrits sur l’art qu’il consulte, tout en y ajoutant de nombreuses digressions et réflexions personnelles. En 1814, après la chute de Napoléon, il est sans ressources mais préfère rester en Italie.
Il écrit les Vies de Haydn, de Mozart et de Métastase, qui sont surtout des traductions d’auteurs italiens : à cette époque, Stendhal écrit essentiellement par besoin. Entre 1814 et 1830, Stendhal mène une vie de dilettante : il assiste de loin aux campagnes napoléoniennes, préfère rester à Paris mais rejoint l’Italie le plus souvent possible. Il se consacre de plus en plus à l’écriture et publie en 1817 la première version du récit de voyage Rome, Naples et Florence et de l’ Histoire de la peinture en Italie.
Il publie une seconde édition, deux fois plus longue, de Rome, Naples et Florence en 1826. Grand observateur de ses contemporains, Stendhal écrit un autre livre, Le Rouge et le Noir, sous titré Chroniques du XIXe siècle publié en 1830. Ce dernier passe alors presque inaperçu. La carrière de diplomate de Stendhal commence en 1831 lorsqu’il est nommé consul à Civitavecchia. Cette carrière lui offre l ‘opportunité de passer dix années dans son pays d’élection, même s’il rentre fréquemment à Paris.
Il est enfin libre de voyager dans toute l’Italie : Sienne, Florence, Naples, Rome… et il se consacre à l’écriture. Les dix dernières années qui lui restent à vivre sont en effet les plus fécondes : les Souvenirs d’égotisme en 1832, Lucien Leuwen et la Vie de Henry Brulard en 1835, et enfin La Chartreuse de Parme en 1838, qu’il dicte entre le 4 novembre et le 26 décembre. Stendhal est frappé le 15 mars 1841 d’une attaque d’apoplexie.
Il rejoint Paris où il meurt l’année suivante, le 23 mars 1842.

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