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LES RATEES ET L'AGONIE D'UN PEUPLE est une diatribe inédite et remarquable des enjeux sociopolitiques de la RD Congo de 1960 à 2016. C'est la mémoire et la conscience historique profonde des témoins des indépendances et de la jeunesse congolaise qui y sont apostrophées afin de rompre avec les drames ankylosants du passé, entretenus par ladite communauté internationale et les ONG en toute complicité avec la société civile congolaise elle-même ! Le renouvellement de la classe politique congolaise y est posé avec acuité car la jeunesse semble être prise en otage dans ses mailles stériles, marquées par des violences déshumanisantes récurrentes qui n'épargnent aussi ni femmes ni enfants.
Comment interrompre ou éviter le chaos et l'agonie d'un peuple comblé par tant de richesses naturelles et pourvu d'une intelligentsia expérimentée et inestimable ? Ntet Kabwit Mitond, élabore une diatribe thérapeutique, qu'il propose à ces concitoyens afin de mettre fin à l'esclavagisme intellectuel et politique des élites et de leurs cours dont déjà, certains même sont essoufflés par le poids de l'âge.
Des régimes dits diaboliques et diabolisant sont éradiqués sur la planète par ladite communauté internationale en complicité avec une frange de la population locale, laissant derrière elle des pays chaotiques, agonisant, véritables niches du terrorisme internationale qui pourtant semblaient subvenir aux besoins élémentaires de leurs peuples. Le plaidoyer et le mea culpa à l'endroit de la jeunesse, invitent cette dernière à en tirer des leçons, à amorcer une rupture générationnelle bien pensée et à préserver à tout prix le reste des acquis actuels du Congo ! Un livre qui fait échos au précédent, Le Congo de Nouveau sur le Radar, et qui ne laissera ni les Congolaises, ni les Congolais et ni l'ensemble du continent africain indifférent.
Une voie de pacification endogène et sans doute salvatrice. Une sagesse rappelant l'idéal commun et exhortant à la paix ! Malgré les différentes approches, il faudra se garder surtout d'écorcher une fois de plus la mère patrie !
