Télex n° 1 - Grand Format

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Jean-Jacques Schuhl - Télex n° 1.
"Je n'aime presque aucun livre. Ils se ferment sur un univers, un ton, un style. Seule me plaît maintenant une écriture anonyme, fragmentée et fragile... Lire la suite
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  • Poche
    • Télex n°1
      Paru le : 07/05/2013
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  • Grand format
    • Télex n° 1
      Paru le : 01/05/1976
      Actuellement indisponible
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Résumé

"Je n'aime presque aucun livre. Ils se ferment sur un univers, un ton, un style. Seule me plaît maintenant une écriture anonyme, fragmentée et fragile : une affiche murale commencée par l'un, continuée par un autre indéfiniment et que le vent ou la pluie peut effacer. Les livres ici continuent à créer des personnages, à fabriquer des ambiances, alors que voici venu le temps des discours sans auteur ; des mouvements de masses, des gestes ébauchés et que le temps emporte".
Ce texte se veut donc anonyme sans histoire ni personnages, avec une trame déchiquetée, un refus de toute approche psychologique. C'est un montage où se mêlent des décors rétro (les chambres du Ritz), les vedettes du cinéma d'autrefois (Marlène, Rita Hayworth), celles de la révolution (Mao, les feddayin)... les vêtements de Schiaparelli, un masque de chirurgie...

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/05/1976
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-07-029505-2
  • EAN
    9782070295050
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    184 pages
  • Poids
    0.2 Kg
  • Dimensions
    11,8 cm × 18,5 cm × 1,4 cm

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L'éditeur en parle

"Je n'aime presque aucun livre. Ils se ferment sur un univers, un ton, un style. Seule me plaît maintenant une écriture anonyme, fragmentée et fragile : une affiche murale commencée par l'un, continuée par un autre indéfiniment et que le vent ou la pluie peut effacer. Les livres ici continuent à créer des personnages, à fabriquer des ambiances, alors que voici venu le temps des discours sans auteur ; des mouvements de masses, des gestes ébauchés et que le temps emporte".
Ce texte se veut donc anonyme sans histoire ni personnages, avec une trame déchiquetée, un refus de toute approche psychologique. C'est un montage où se mêlent des décors rétro (les chambres du Ritz), les vedettes du cinéma d'autrefois (Marlène, Rita Hayworth), celles de la révolution (Mao, les feddayin)... les vêtements de Schiaparelli, un masque de chirurgie...

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