En cours de chargement...
Ce récit paru en 1894 et presque aussitôt oublié est un portrait de la société américaine à la fin du XIXe siècle. Dans la rue, dans les pensions où logent les Grandin, dans les soirées en ville, Marie observe les mours d'un pays encore neuf. Elle s'indigne quelquefois, s'émerveille le plus souvent ; juge les domestiques abusent de la liberté mais que les femmes en jouissent à bon droit : non seulement elles en ont plus que les Françaises, mais elles trouvent dans le Nouveau Monde des époux beaucoup plus attentionnés que dans l'Ancien.
L'auteur, qui fréquente à Chicago de fortes personnalités féminines, en tirera donc les conséquences pour elle-même.