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On en apprend un peu plus l’histoire de Mallory et sur Habu qui a découvert l’appareil photo qui initie cette quête.
Comme pour les tomes précédent, je suis subjuguée par la montagne quasi personnifiée par Taniguchi. Les personnages sont aussi mystérieux que forts, ils sont intrigants et on a vraiment envie de les accompagner encore longtemps.
Un ouvrage qui s’annonçait prometteur mais qui fait un effet soufflé. On rentre immédiatement dans le récit emporté par un humour vif et grinçant qui donne vraiment du plaisir. Puis les lourdeurs arrivent, les personnages s’accumulent, les digressions aussi et on lutte pour retrouver de temps en temps ce sursaut qui nous a fait y croire au début. Je n’ai lu aucun ouvrage des deux auteurs (oui je sais honte à moi
La conjuration des imbéciles
Très vite happée par l’écriture racinaire de l’auteur, la verve et le psychopato-narcisisme du héros j’ai tout de même dû lutter parfois avec la lassitude notamment liée à l’excessivité des personnages pour tout de même me replonger dans les aventures rocambolesques de ce cher Ignatius. J’aime la critique acerbe et efficace de la société américaine des années 60, j’aime l’intellectualisme et le sarcasme, une belle lecture qui s’est essoufflée mais qui reste un bon moment.