Avant, c'était clair.
Les artistes suivaient le mouvement, si l'on peut dire, les novateurs pratiquaient seul ou encore s'organisaient entre eux, des écoles naissaient, puis un nouveau mouvement succédait, ainsi dessuite...
Aujourd'hui, ce n'est plus applicable. L'art contemporain n'a plus d'empreinte, de caractéristiques propres qui permettraient de les dater avec précision si nous les regardions des décennies ou des siècles plus tard.
Alors, l'histoire de l'art est elle vraiment finie ?
Ou doit-elle muer, muter, afin de mieux s'adapter ?
Bonne question.
Avant, c'était clair.
Les artistes suivaient le mouvement, si l'on peut dire, les novateurs pratiquaient seul ou encore s'organisaient entre eux, des écoles naissaient, puis un nouveau mouvement succédait, ainsi dessuite...
Aujourd'hui, ce n'est plus applicable. L'art contemporain n'a plus d'empreinte, de caractéristiques propres qui permettraient de les dater avec précision si nous les regardions des décennies ou des siècles plus tard.
Alors, l'histoire de l'art est elle vraiment finie ?
Ou doit-elle muer, muter, afin de mieux s'adapter ?