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Les plus belles histoires d'amour ne meurent jamais.
Les plus belles histoires d'amour ne meurent jamais.
Elles continuent de vivre dans nos souvenirs et les coïncidences cruelles que notre esprit invente.
Mais quand, pour Nathy, ces coïncidences deviennent trop nombreuses, doit-elle croire qu'il n'y a pas de hasard, seulement des rendez-vous ?
Qui s'évertue à lui faire revivre cette parenthèse passionnelle qui a failli balayer sa vie ?
Quand passé et présent se répètent au point de défier toute explication rationnelle, Nathy doit-elle admettre qu'on peut remonter le temps ?
En quatre escales, Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta, dans un jeu de miroirs entre 1999 et 2019, J'ai dû rêver trop fort déploie une partition virtuose, mêlant passion et suspense, au plus près des cours qui battent trop fort.
Trop fleur bleue, trop répétitif, et enfin un suspense mais au 3/4 du roman
Nathalie est hôtesse de l'air et elle n'en revient pas quand elle découvre sa nouvelle feuille de route : Montréal, San Diego, Barcelone et Jakarta.
Exactement la même qu'il y a 20 ans quand elle a rencontré ce jeune guitariste.
Et les coïncidences ne vont pas s'arrêter là ...
Sur 63 chapitres on va naviguer entre 1999 et 2019 pour découvrir Nathalie et Ylian, Nathalie et Oliver, Nathalie et Flo.
Ça partait plutôt bien, avec un sujet qui aurait pu être original si un peu moins fleur bleue.
D'abord j'ai commencé par confondre 1999 et 2019.
Puis je me suis lassée de ces je t'aime moi non plus, je suis mariée mais j'assume, je suis un musicien raté.
Même quand on arrive au 3/4 (quand même !) du roman et qu'apparaît une petite intrigue doublée d'une découverte inattendue, et d'un petit suspense, ça ne m'a pas fait décoller plus que ça.
Quant au final ... un conte de fées un brin ubuesque.
De loin, très loin, mon Bussi préféré.