Clément Baloup naît 1978 à Montdidier dans la Somme, detapos;un père detapos;origine vietnamienne et detapos;une mère du nord de la France. De son enfance entre la Corse, Tahiti et la Guyane française, il garde le goût des voyages et des folkores du monde. Sa grande sour letapos;initie à la bande dessinée très tôt et il ne tarde pas à se fasciner pour les ouvres de Spiegelman, Guibert ou Mizuki. À letapos;école des beaux-arts detapos;Angoulême, il rencontre Mathieu Jiro.
Par la suite, il rejoint Marseille, travaille pour des chaînes de télévision, dessine pour la presse, de « Spirou » à « Playboy » et signe ses premiers livres, seul ou avec un dessinateur. Ses deux premiers albums ont un lien avec le Vietnam - dont est originaire son père - mais dans des registres forts différents.
Mathieu Jiro naît à Reims, en 1978. Il passe son enfance à peindre des paysages, des natures mortes et des animaux, des monstres gluants et des zombies.
Ses premiers chocs artistiques sont « Le Radeau de la Méduse » de Géricault, les ouvres de Manet, et plus tard celles de Hokusaï et detapos;Utamaro. Il aime aussi les bandes dessinées de Gotlib, puis découvre avec émerveillement les mangas, notamment Akira de Otomo. Après quelques années aux beaux-arts de Reims, il poursuit ses études à Angoulême, où il développe avec Clément Baloup, le collectif detapos;auteurs "La Maison qui pue".
Il vit aujourdetapos;hui à Toulouse et sans relâche dessine des bandes dessinées, signe des illustrations pour la presse, « Bang » et « Beaux Arts Magazine », des T-Shirts ou encore des pochettes de disques. Influencé par Chris Ware et Osamu Tezuka, le graphisme iconique de « Diables Sucrés » montre une expressivité et une étrangeté qui netapos;appartiennent quetapos;à son auteur.