Biographie de Catherine Meurisse
Catherine Meurisse est née en 1980.
Après un cursus de lettres modernes, elle poursuit ses études à Paris, à l'École nationale supérieure des arts graphiques (école Estienne), puis à l'École nationale supérieure des arts décoratifs.
En 2005, elle rejoint l'équipe de 'Charlie Hebdo'. Elle dessine également pour des magazines et des quotidiens, comme 'Libération', 'Marianne', 'Les Échos', 'Causette', 'Télérama', 'L'Obs'...
et illustre des livres jeunesse chez divers éditeurs (Bayard, Gallimard, Nathan, Sarbacane...).
Elle signe plusieurs bandes dessinées, parmi lesquelles "Mes hommes de lettres" (éditions Sarbacane, préfacé par Cavanna), ou comment faire entrer avec humour toute la littérature française dans un seul album, "Savoir-vivre ou mourir" (éditions Les Échappées, préfacé par Claire Bretécher), guide hilarant des bonnes manières enseignées par la baronne Nadine de Rothschild, "Le Pont des arts" (éditions Sarbacane), récit d'amitiés tumultueuses entre peintres et écrivains, ou "Moderne Olympia" (éditions Futuropolis), une relecture jubilatoire du mythe de Roméo et Juliette, au musée d'Orsay, sur fond de comédie musicale.
Aux éditions Dargaud, elle publie "Drôles de femmes", en collaboration avec Julie Birmant, un recueil de portraits de femmes du spectacle, telles que Yolande Moreau ou Anémone, ainsi que "La Légèreté", récit de son retour à la vie, au dessin et à la mémoire, après l'attentat contre 'Charlie Hebdo'.
En 2016, elle sort également, toujours chez le même éditeur, "Scènes de la vie hormonale", et en 2018 "Les Grands Espaces".
En 2019, avec "Delacroix" (Dargaud), Catherine Meurisse s'invite dans les souvenirs d'Alexandre Dumas et de l'amitié qu'il a tissé avec Eugène Delacroix et en offre une adaptation toute personnelle.
Catherine Meurisse est née en 1980.
Après un cursus de lettres modernes, elle poursuit ses études à Paris, à l'École nationale supérieure des arts graphiques (école Estienne), puis à l'École nationale supérieure des arts décoratifs.
En 2005, elle rejoint l'équipe de 'Charlie Hebdo'. Elle dessine également pour des magazines et des quotidiens, comme 'Libération', 'Marianne', 'Les Échos', 'Causette', 'Télérama', 'L'Obs'... et illustre des livres jeunesse chez divers éditeurs (Bayard, Gallimard, Nathan, Sarbacane...).
Elle signe plusieurs bandes dessinées, parmi lesquelles "Mes hommes de lettres" (éditions Sarbacane, préfacé par Cavanna), ou comment faire entrer avec humour toute la littérature française dans un seul album, "Savoir-vivre ou mourir" (éditions Les Échappées, préfacé par Claire Bretécher), guide hilarant des bonnes manières enseignées par la baronne Nadine de Rothschild, "Le Pont des arts" (éditions Sarbacane), récit d'amitiés tumultueuses entre peintres et écrivains, ou "Moderne Olympia" (éditions Futuropolis), une relecture jubilatoire du mythe de Roméo et Juliette, au musée d'Orsay, sur fond de comédie musicale.
Aux éditions Dargaud, elle publie "Drôles de femmes", en collaboration avec Julie Birmant, un recueil de portraits de femmes du spectacle, telles que Yolande Moreau ou Anémone, ainsi que "La Légèreté", récit de son retour à la vie, au dessin et à la mémoire, après l'attentat contre 'Charlie Hebdo'.
En 2016, elle sort également, toujours chez le même éditeur, "Scènes de la vie hormonale", et en 2018 "Les Grands Espaces".
En 2019, avec "Delacroix" (Dargaud), Catherine Meurisse s'invite dans les souvenirs d'Alexandre Dumas et de l'amitié qu'il a tissé avec Eugène Delacroix et en offre une adaptation toute personnelle.
L'art pour surmonter l'impossible
Catherine Meurisse travaille depuis dix ans en tant que dessinatrice à Charlie Hebdo. Le jour de l'attentat, elle s'est réveillée en retard, un pur et cruel hasard qui lui a permis d'avoir la vie sauve.
Le choc, la surprise, la douleur, la colère puis la culpabilité : "Pourquoi eux et pas moi?" vont la hanter pendant longtemps, vont l'empêcher de vivre cette vie, celle qu'elle a pu conserver par un concours de circonstance.
Elle reçoit alors une bourse pour aller dans une résidence d'artiste. L'art va la ramener à la vie, la sortir de l'eau, l'aider à surmonter l'impossible.
Un récit vibrant et déchirant sur la culpabilité du survivant, sur la violence, le deuil.