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Byzance ! À ce seul nom, les prunelles pétillaient, les soldats avaient si souvent entendu célébrer les merveilles de Byzance, les fastes de sa cour, le goût des plaisirs et des manifestations somptueuses, si particuliers à sa population. Pourtant, les soldats ne venaient pas là pour se distraire, mais pour combattre le Turc. Les seuls secours envoyés par la chrétienté se bornaient aux deux galères commandées par Jean Giustiniani, qui avait levé une petite armée de son propre chef : cinq cent hommes...
c'était bien peu en présence des hordes turques qui n'allaient pas tarder à apparaître sous les murs de Byzance...