Sid Ahmed Soussi est professeur au Département de sociologie de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et membre du Groupe de recherche interuniversitaire et interdisciplinaire sur l'emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS).
Yanick Noiseux est professeur agrégé au Département de sociologie de l'Université de Montréal (UdeM) et chercheur principal au Groupe de recherche interuniversitaire et interdisciplinaire sur l'emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS).
Emma Jean est doctorante en sociologie à l'Université de Montréal (UdeM), chargée de cours en sociologie du travail et membre du Groupe de recherche interuniversitaire et interdisciplinaire sur l'emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS)
Sid Ahmed Soussi est professeur au Département de sociologie de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et membre du Groupe de recherche interuniversitaire et interdisciplinaire sur l'emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS).
Martine D'Amours est sociologue et professeure titulaire au Département des relations industrielles de l'Université Laval.
Elle est membre régulière du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES) et du Comité de rédaction de la revue Relations industrielles/Industrial Relations?. Ses principaux intérêts de recherche portent sur les mutations de l'emploi, en particulier sur les nouvelles configurations de la relation d'emploi (sous-traitance, travail indépendant, intérim et autres formes de salariat atypique), et sur les enjeux que cela pose en matière de protection sociale, d'action et de représentation collective des travailleurs concernés.
Yanick Noiseux est professeur agrégé au Département de sociologie de l'Université de Montréal (UdeM) et chercheur principal au Groupe de recherche interuniversitaire et interdisciplinaire sur l'emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS).
Après un postdoctorat Banting au Laboratoire de recherche sur le droit et le développement de la Faculté de droit de l'université McGill sur les origines juridiques de l'exclusion au travail, et une thèse de doctorat en administration des affaires de HEC Montréal sur une analyse institutionnelle et comparative de la citoyenneté au travail dans une firme multinationale, Armel Brice Adanhounme a rejoint l'école de gestion de l'Université du Québec à Trois-Rivières en décembre 2013, où il enseigne des cours de relations industrielles.
Il a également une maitrise en gestion des ressources humaines de New School Univiersity, New York, et une maitrise en théologie de Weston Jesuit School of Theology, Cambridge, USA. Ses recherches portent notamment sur la manière dont la gouvernance des entreprises est influencée et façonnée par la culture, les lois et les normes dans les relations de travail.
Youssef Sadik est professeur de sociologie et du management à l'Université Mohammed V (U.
Mohamed V), Rabat (Maroc) où il dirige le Master Management du capital humain et communication. Il est le Président de l'Observatoire des Transformations Sociales (OTS). Diplômé de Sciences Po Paris (2000), il a occupé des postes de responsabilité en tant que conseiller auprès du Chef du Gouvernement marocain, expert auprès de l'USAID et du Parlement marocain sur les questions sociales et syndicales, sur les jeunes et l'employabilité.
Il est membre du comité de lecture de la revue Émulations (Bruxelles, Belgique) ainsi que membre fondateur et membre du comité de rédaction de la Revue Marocaine de Science Politique et Sociale (Maroc). Sadik est également chercheur associé au Groupe d'Étude des Méthodes de l'Analyse Sociologique (GEMAS) (CNRS - Université de Paris IV - Sorbonne 1999- 2000) et il a été professeur visitant à l'École de Management de Lyon.
Youssef Sadik est également membre du comité des experts du Global Knowledge Index et du Arab Reading Index édités par le PNUD et la Fondation Bin Rached Al Makhtoum à Dubai.
Mylène Fauvel est chargée de cours et doctorante en sociologie à l'Université de Montréal. Elle est également détentrice d'une maîtrise en communication. Ses travaux portent sur les conditions de travail et les pratiques de gestion dans les organismes communautaires ainsi que sur les mobilisations conjointes entre le monde syndical et les organisations communautaires.
Elle est également chercheuse-étudiante au GIREPS où elle a mené une recherche partenariale sur les conditions de travail dans le mouvement communautaire ainsi qu'une sur les répercussions de la COVID-19 et des politiques sociales sur les organismes communautaires.
Diane Gagné a connu un parcours atypique. D'abord, commis au contrôle de la production à la raffinerie de Pétro-Canada, puis première femme technicienne en pétrochimie au Québec.
En 2002, elle reprenait ses études. Elle a complété un bac en gestion, spécialisation en ressources humaines, à HEC Montréal, ainsi qu'une maitrise et un doctorat en relations industrielles à l'École des relations industrielles de l'UdeM. Professeure titulaire et directrice de l'École de gestion de l'UQTR, elle est attachée au département de la gestion des ressources humaines, depuis juin 2011. Elle enseigne notamment les relations de travail (négociation et administration de la convention collective), les politiques publiques de l'emploi et la démarche scientifique.
Ses intérêts de recherche portent notamment sur l'action collective, la discrimination systémique et la précarité en/de emploi.
Emma Jean est doctorante en sociologie à l'Université de Montréal (UdeM), chargée de cours en sociologie du travail et membre du Groupe de recherche interuniversitaire et interdisciplinaire sur l'emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS)
Sociologue critique, Marie-Pierre Boucher est professeure au département de Relations industrielles à l'Université du Québec en Outaouais.
Ses travaux portent sur la segmentation et les statuts d'emploi, la division sexuelle du travail, la marchandisation des activités sociales, et les politiques sociales, en particulier sur leur fiscalisation et sur l'aide sociale. Elle est membre du Groupe interuniversitaire et interdisciplinaire de recherche sur l'emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS) et de l'équipe de recherche Travail et Société de l'UQO (ERTS).
Marie-Josée Dupuis est responsable de la recherche au Collectif pour un Québec sans pauvreté.
Depuis ses études doctorales, ses travaux portent principalement sur la précarisation du marché du travail ainsi que sur l'évolution des politiques publiques du marché du travail et de la sécurisation du revenu. Depuis une quinzaine d'années, elle travaille comme chercheure à la fois dans les milieux universitaires et communautaires.
Jusqu'au début 2021, Laurence Léa Fontaine était professeure au Département des sciences juridiques de l'Université du Québec à Montréal.
Titulaire d'un doctorat en droit et d'un post?doctorat en relations industrielles, ses intérêts de recherche ont porté sur les rapports collectifs de travail et, en particulier, les régimes spéciaux des rapports collectifs (ex. extension des conventions collectives ; construction ; services / secteurs public et parapublic). La professeure Fontaine s'était également interessée à la représentation et la défense des travailleuses et travailleurs en situation de vulnérabilité (ex.
temps de travail et disponibilité, travail temporaire, agences de placement).
Claudine Gagnon est responsable du volet de recherche « AVEC » au Collectif pour un Québec sans pauvreté (CQSP). Détentrice d'une maîtrise en organisation communautaire, ses interventions visent à faciliter la participation des personnes en situation de pauvreté aux luttes qui les concernent et aux projets de recherche menés par CQSP.
Laurence Hamel-Roy est étudiante au doctorat en études humaines au département Centre for Interdisciplinary Studies in Society and Culture (CISSC) de l'Université Concordia.
Ses travaux portent sur les transformations des marchés du travail et le rôle des politiques publiques dans la participation des femmes au marché du travail. Membre du Groupe interuniversitaire et interdisciplinaire de recherche sur l'emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS), elle collabore également régulièrement avec Action travail des femmes (ATF) à titre de chercheuse indépendante sur les questions de discrimination et de harcèlement sexuel dans les secteurs d'emploi non traditionnels.
Pierre-Hubert Leroux a obtenu la maîtrise de sociologie à l'Université de Montréal, où il s'est aussi impliqué auprès du Groupe interdisciplinaire et interuniversitaire de recherche sur l'emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS) à titre d'étudiant-chercheur.
Il s'intéresse au travail migrant au Japon et aux mouvements sociaux japonais pour l'amélioration des conditions de vie et de travail des migrants et migrantes.
Nik Theodore est professeur de planification et de politiques urbaines et doyen associé à la recherche et aux affaires facultaires au College of Urban Planning and Public Affairs, de l'université de l'Illinois à Chicago, aux États-Unis.
Ses recherches actuelles concernent les économies urbaines informelles, les marchés du travail à bas salaires ainsi que l'organisation des travailleurs. Il est l'auteur, avec Jamie Peck, de Fast Policy : Experimental Statecraft at the Thresholds of Neoliberalism (2015, University of Minnesota Press) et co-éditoeur en chef d'Antipode: A Radical Journal of Geography.
Détentrice d'une maitrise en science politique, Céline Métivier est agente de recherche au Réseau québécois de l'action communautaire autonome (RQ-ACA) depuis 2003.
À ce titre, elle collabore à différentes recherches en lien avec les préoccupations du mouvement communautaire. Originaire de l'Abitibi-Témiscamingue, elle a été militante au sein de plusieurs organismes d'action communautaire autonome de Rouyn-Noranda pour la défense des droits des jeunes, des femmes, des chômeurs et chômeuses, des locataires, de l'environnement, etc. À Montréal depuis 1990, elle est active au sein du comité logement de son quartier et du conseil d'administration du jardin communautaire près de chez elle.
