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Tout en reconnaissant que le Mémoire de M. Perron est le premier travail où il soit traité ex professo de l'horlogerie dans ses rapports avec la santé, nous pensons que ce confrère s'est un peu hâté d'écrire les lignes suivantes (page 17) :
« Je ne sache pas dans Besançon un seul médecin qui se soit occupé de rechercher si l'horlogerie prédisposait à la fièvre, à la diarrhée, à la toux. M. le docteur Lebon a dit, dans son beau Mémoire sur l'horlogerie franc-comtoise : « M.
Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.