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Pour les quatre membres du Club des cadavres exquis, il n'y a rien de plus savoureux que les histoires macabres. Mais jusqu'où peut-on aller quand on écrit de tels récits? Où se situe la frontière entre l'imagination foisonnante et la démence pure?
Aussi passionné d'histoires que les membres du Club des cadavres exquis, François Gravel a placé l'écriture de romans au cour de sa vie. Il a publié plus de 50 livres pour les jeunes comme pour les adultes.
Avec Sales Crapauds, le sixième titre de la populaire série Sauvage, il déroute et ravit en intégrant quatre nouvelles terrifiantes à son roman. Quatre styles totalement différents, un même plaisir de lecture.
Pour clore en beauté leur secondaire, Steve et sa bande décident de pondre un dernier recueil de nouvelles. Des nouvelles glauques à souhait. Mais tous ne sont pas du même avis quant à la teneur des histoires et de leurs dénouements.
Certaines sont si. si. Trop! Juste trop. Trop violentes, trop macabres, trop dégoûtantes. Mais l'imagination ne sert-elle pas à ça, justement, se permettre d'aller au bout de nos idées, même les plus folles, même les plus cruelles? Si on ne peut même plus se défouler sur papier, où donc le fera-t-on?
Derrière ce questionnement sur les limites à ne pas dépasser en termes de bon goût se cache une terrible réalité : bientôt, le Club des cadavres exquis ne sera plus et chaque texte qui arrive est comme un clou de plus dans le cercueil de leur amitié, de cette belle époque de leur vie qui prendra fin sous peu.
avec tout ce que cela implique de chambardements.