Woman in dark (french edition) - Tome 1 - E-book - Multi-format

Une des meilleures romances émotionnelles du Concours "Let It Snow", by Fyctia. ____________________ Ce qu'ils en pensent : ____________________ M. Iam aborde cette histoire par les mots de Bella à son amie. Ils sont touchants, tendres, émouvants et effrayants en même temps. Elle ne sait rien de ce détenu avec qui elle entretient une relation épistolaire... C'est énigmatique ! Émilie Musseau Tout ceci ajouté au thème et au mystère entourant le prisonnier, je pense que tout est en place pour une super romance... John Doe ________ Résumé ________ Isabella et Roc entretienent une correspondance.
Et la profondeur de leurs sentiments s'est façonnée dans l'encre de leurs mots, pourtant ils ne se sont jamais rencontrés. La jeune femme tombera amoureuse de ce prisonnier car il la comprend, l'apaise et la bouleverse, quant à lui il la perçoit comme un rayon de soleil, illuminant sa triste existence si froide dernière les barreaux de Nowdie. Emprisonné pour un motif dont elle ignore tout, Isabella va s'attacher à lui, elle va rêver aussi d'un avenir à deux, car Roc pourra bientôt sortir de prison.
Pour la première fois, son vou de passer sa vie en compagnie de quelqu'un va enfin se réaliser. Mais les bonnes choses, n'engendrent-elles pas aussi des lourdes responsabilités, peut-être même plus lourdes à porter ? ___________________________ Coup d'oil sur le prologue ___________________________ Prologue Chère Sonia, Lorsqu'on m'a parlé de ton malheur, à celle de la mort de Madame Foster, j'ai automatiquement compati à ta douleur.
Je ne pouvais pas venir te voir, car depuis mon départ, beaucoup d'événements ont changé ma vision de choses. Mais avant tout, laisse-moi prendre quelques lignes pour tout te relater. Tout a commencé lorsque le docteur Simmons avait tiré un trait sur le sort de maman. Tu sais très bien, comme toi, elle était l'encre de ma vie. Elle n'a pas eu beaucoup de chance, même si je pense, qu'elle pouvait encore rester un peu.
S'il y a de ceux qui décident de partir, cela ne traduit pas que mourir est négociable. Après la mort de maman, j'avais décidé de quitter Mont-Noir pour me détacher de l'emprise de mes oncles qui commençaient à me comparer à un rubis. Dorénavant, sur la route de la vie, j'étais toute seule, errante, perdue, épuisée et sans joie de vivre. Je me déplaçais d'une ville à une autre, d'une famille à une autre, et d'un moment joyeux vers un souvenir affreux.
Lorsque je trouvais ma place quelque part, l'imprévu me cornaquait nulle part. Et le pire, ma beauté était devenue mon handicap. Le temps avait de plus belle filé, ma situation financière s'était régularisée. Cependant, partout où je passais, tous marchaient main dans la main, sauf moi. Je commençais alors à me dire que je ferais mieux de devenir une bonne sour, malgré tout mon cour voulait être une cible.
Un soir d'été, alors que je dînais dans un restaurant cinq étoiles, l'ambiance y était essentielle. Un groupe de jazz interprétait une belle chanson dont le refrain disait : Aimer, c'est tout ce que je veux ! Mais le mieux, c'est d'attendre les résultats de mes voux , J'espère juste que rien ne serait en retard, Pas avant que je n'apprenne à vivre sans mon cour... *** Cet endroit, ce moment et cette chanson, c'était tout moi.
Instantanément, un jeune homme se mit à distribuer des dépliants et, impérativement, le pauvre fut expulsé. À la sortie du restaurant, j'étais tombée sur l'un de ces dépliants. J'aurais donné raison au responsable du resto, mais j'étais obligée de faire le contraire. Par le canal de ces dépliants, le gouvernement encourageait la population à soutenir tous ceux qui passaient leur vie derrière les barreaux.
J'étais peut-être libre physiquement de parcourir des sentiers, mais à l'exemple de ces prisonniers, j'étais...