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Effluves, réminiscences, jeux de regards et de sourires... D'où vient cette impression fugace que présence et absence sont liées, que la mémoire consume les saisons ? Qu'enfance et départs ne sont que des logiques inconsistantes contre lesquelles la parole ne peut rien ? Le temps serait-il donc aveu de félinité, identité du corps et du langage, réponse au silence ? Serait-il possible, juste en pliant les mots, d'apprivoiser la rose et d'en faire un avion de papier qui volerait plus haut que l'hiver ?