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Alors qu'il veut marcher sur les traces d'Alexandre le Grand et trouver des alliés sûrs contre les Parthes, César fait appel à Alix. Celui-ci part donc vers les steppes de l'Oural. Afin de sécuriser les frontières romaines, notre héros s'en va chez les Sarmates négocier au nom de Rome. Leur roi Eunonès l'emmènera à la découverte d'un monde encore inconnu. C'est aux confins de celui-ci qu'Alix fera la rencontre des Androphages et de leur dieu sans nom.
Perdus à l'autre bout du monde, Alix et Enak découvriront une culture surprenante, des batailles qu'ils n'imaginaient pas et des cultes étranges. Encore une fois, nos héros feront tout pour la gloire de Rome.
Déception
Le dessinateur et le scénariste qui avaient déjà sévit dans l'album "Veni vidi vici" (n° 37) récidivent hélas dans celui-ci. Les dessins sont souvent médiocres, les proportions parfois non respectées, des cases entières sont "moches". Le retour de la "géante" n'arrange rien, aussi bien pour le visuel que dans l'apport au scénario. Il y avait pourtant de la matière pour cette histoire se déroulant vers "l'Est".
En résumé, un gâchis (que je retrouve également dans certains albums de "Lefranc" post J. Martin), très loin d'être à la hauteur des qualités de l'auteur initial. Pour la reprise des aventures d'Alix, d'autres auteurs ont mieux fait, leur choix ne doit pas répondre qu'à une volonté mercantile. L'éditeur doit se reprendre, le prix des BD n'a pas baissé il me semble.