Approximations - Poèmes épars 1956-1972 - Grand Format

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Alejandra Pizarnik - Approximations - Poèmes épars 1956-1972.
APPROXIMATIONS réunit les poèmes inédits d’Alejandra Pizarnik écrits tout au long de sa vie littéraire, de 1956 à 1972, et jamais repris en volume.... Lire la suite
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Résumé

APPROXIMATIONS réunit les poèmes inédits d’Alejandra Pizarnik écrits tout au long de sa vie littéraire, de 1956 à 1972, et jamais repris en volume. Des premiers temps de son écriture à ses ultimes développements, le terme d’«approximation» a pour elle valeur de description, voire de programme pour son projet poétique. La notion répond bien à ce qui fait la singularité de sa voix : soit à la fois une forme de candeur emphatique dans le rêve d’absolu et une simplicité dans les moyens de poésie mis en oeuvre.
L’approximation n’est pas l’approximatif mais le plus précis, le cap maintenu avec ferveur depuis l’adolescence, cette fidélité à un soi à venir qu’est le chemin vers l’oeuvre.

Caractéristiques

  • Date de parution
    08/10/2015
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-35654-061-4
  • EAN
    9782356540614
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    120 pages
  • Poids
    0.235 Kg
  • Dimensions
    15,0 cm × 22,5 cm × 1,0 cm

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À propos de l'auteur

Biographie d'Alejandra Pizarnik

Alejandra Pizarnik est née près de Buenos Aires, à Avellaneda, le 29 avril 1936, dans une famille d'immigrants juifs de Galicie, arrivée en Argentine en 1934. Elle fait ses études sans vraiment trouver sa voie : de la faculté de Philosophie à celle des Lettres, de la faculté de journalisme à l'atelier de peinture de Juan Batlle Planas. Elle ne veut, elle ne peut qu'écrire. A 19 ans, elle publie son premier recueil de poèmes.
Reconnue, admirée, amie de Jorge Luis Borges, Silvina Ocampo, Bioy Casares, Olga Orozco, elle collabore à la fameuse revue sur de Victoria Ocampo. Entre 1960 et 1964, elle vit à Paris où elle est pigiste pour un journal espagnol et écrit dans plusieurs journaux et revues. Elle se lie d'amitié avec André Pieyre de Mandiargues, Octavio Paz, Julio Cortazar... Elle traduit ses écrivains préférés : Artaud, Michaux, Pieyre de Mandiargues, Breton, Eluard, Duras...
Rentrée à Buenos Aires, sa vie se déroule entre les quatre murs de son petit appartement et les rues de la ville. Elle publie alors ses ouvrages les plus importants. En 1968, elle obtient une bourse Guggenheim et fait un bref séjour à New York. Après deux tentatives de suicide en 1970 et 1972 et un séjour à l'hôpital psychiatrique Pirovano de Buenos Aires, une amie la retrouve morte chez elle le 25 septembre 1972.

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