Contes érotiques - Variations sur le mode sentimental - Grand Format

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Charles Corm - Contes érotiques - Variations sur le mode sentimental.
Ces contes érotiques écrits par Charles Corm à l'âge de 18 ans, sont des Variations sur le mode sentimental, comme il aime les décrire, évoquant... Lire la suite
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Résumé

Ces contes érotiques écrits par Charles Corm à l'âge de 18 ans, sont des Variations sur le mode sentimental, comme il aime les décrire, évoquant des souvenirs « vécus » et des impressions, souvent sublimés, de femmes rencontrées dans sa prime jeunesse au Liban ou lors de son premier voyage, en 1912, à Paris et à New York. Prémices d'une oeuvre poétique colossale, ces petits contes inédits introduisent, entre autres, plus de 350 portraits de femmes célèbres dans l'Histoire, publiés en 2004 sous le titre « L'Éternel féminin ».

Caractéristiques

  • Date de parution
    06/01/2012
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-913875-28-9
  • EAN
    9782913875289
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    216 pages
  • Poids
    0.13 Kg
  • Dimensions
    10,0 cm × 15,0 cm × 1,4 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Charles Corm

Charles Corm, né à Beyrouth le 4 mars 1894, est le fils du premier peintre libanais de renom, Daoud Corm. Tout jeune homme, en 1919, il fonde et dirige « La Revue Phénicienne », la première publication de langue française, tribune politico-culturelle de la scène libanaise de l’époque. À la suite d’un voyage en Amérique, il prend la représentation de Ford pour le Proche-Orient. Se déplaçant sans cesse entre ses agences disséminées dans la région, il vivra au plus près le drame arménien tout spécialement en Cilicie et dans le Sandjak.
À partir de 1934, il se consacre pleinement à la littérature et publie alors La Montagne inspirée, une ode à son pays et son oeuvre la plus connue. En 1939, il monte en grande partie à ses frais le premier pavillon du Liban à l’Exposition Universelle de New-York, un spectaculaire panorama du patrimoine national. Il contribuera également à la fondation de la Bibliothèque Nationale ainsi que du Musée National de Beyrouth, mais ne cessera d’écrire, surtout de la poésie, jusqu’à la fin de sa vie en 1963.
Son message à ses compatriotes a toujours été humaniste et universel. Pour Charles Corm, l’histoire et les racines d’un peuple non seulement forgent son identité,mais surtout lui permettent de survivre : s’il remet ses aïeux phéniciens à l’honneur, c’est parce « qu’avant de devenir chrétiens ou musulmans, ils n’étaient qu’un même peuple uni dans une même gloire ».

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