De la bêtise, qu’il considérait comme l’un de ses textes majeurs, aborde un sujet tabou dans la pensée classique : confrontée à son contraire,...
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De la bêtise, qu’il considérait comme l’un de ses textes majeurs, aborde un sujet tabou dans la pensée classique : confrontée à son contraire, la réflexion ne court-elle pas le risque de vaciller sur ses bases ? « Si la bêtise ne ressemblait pas à s’y méprendre au progrès, au talent, à l’espoir ou
au perfectionnement, personne ne voudrait être bête ».