Ginkgo Biloba - Premier Loba - fin d'un monde ancien - Poche

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Mariette Lesieur - Ginkgo Biloba - Premier Loba - fin d'un monde ancien.
Recueil de poèmes sur le thème de l'éternel recommencement. Le ginkgo biloba, arbre symbole d'éternité pour les Japonais, déjà présent à l'époque... Lire la suite
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Résumé

Recueil de poèmes sur le thème de l'éternel recommencement. Le ginkgo biloba, arbre symbole d'éternité pour les Japonais, déjà présent à l'époque des dinosaures, a résisté à la bombe d'Hiroshima et sera là bien après nous. L'oeuvre, dédiée à Hyacinthe et à Marius, divisée en deux lobes comme la feuille du ginkgo, réunit l'avant et l'après, la joie et les larmes, la vie et la mort...

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/02/2017
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-9558554-0-9
  • EAN
    9782955855409
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    136 pages
  • Poids
    0.118 Kg
  • Dimensions
    10,6 cm × 17,7 cm × 1,5 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Mariette Lesieur

Mariette Lesieur est une poétesse française née à Béthune dans le Nord de la France en 1979. Dès son enfance Mariette aime à s'évader dans la nature, à faire pousser des graines, à s'entourer d'animaux. Mariette commence à écrire très jeune mais c'est au retour d'un séjour en Bretagne qu'elle compose ses premiers vrais poèmes à l'âge de 15 ans dont elle teste la valeur lors de concours littéraires.
La reconnaissance est immédiate. Ses poèmes sont dès lors primés par l'Académie des Sciences Lettres et Arts d'Arras, par la société anacréontique des ROSATI lors de son concours francophone et par la Fédération Nationale Travail et Culture du Centre de Recherche d'Innovation Artistique et Culturelle du monde du travail (TEC/CRIAC.) En 1996, Mariette n'est pas majeure, elle n'est que lycéenne mais son nom circule dans les milieux littéraires et artistiques qu'elle fréquente de plus en plus.
Multiples articles de presse s'enchaînent. Ses poèmes sont alors publiés dans les journaux régionaux comme La VOIX DU NORD, NORD ECLAIR, LIBERTE 62 mais aussi dans un journal parisien LE VILAIN PETIT CANARD du Cercle littéraire et philosophique d'Oscar Brénifier de 1995 à 2002. La même année Mariette rencontre pour la première fois l'écrivain, acteur, réalisateur et metteur en scène Ronny Coutteure.
Entre eux se lie une grande amitié. Ronny Coutteure se fait alors le défenseur de la poésie et de la jeunesse et décide de parrainer Mariette. En 1998 et 1999 Mariette se révèle au public sur les écrans de télévision de France 3 dans les émissions présentées par Ronny Coutteure " Ronny coup de coeur ". Mariette suit en même temps ses études de Lettres Modernes à l'Université d'Arras où elle obtient avec mention un DEUG.
Les articles se suivent et c'est à partir de 1998 que ses poèmes se font éditer dans différents recueils collectifs de poésie. - Erémiste Poèmes choisis. 1998, 32 pages TEC CRIAC Edition LE TEMPS DES CERISES Pantin. - Pêcheurs d'images Traduit en anglais par Anne-Marie GLASHEEN - 2003, 36 pages bilingue français anglais TEC CRIAC Roubaix - Le pas du veilleur 2004, 20 pages TEC CRIAC Roubaix. Mariette reste discrète sur sa personne.
Timide et réservée, elle est pourtant là à lire ses poèmes sur scène au Théâtre des Hirondelles ou au milieu des tables de l'Estaminet attenant. C'est chez Ronny et elle est en confiance. La bière coule à flot et ce lieu devient vite le lieu privilégié des artistes de la région. On y croise Julos Beaucarne, la famille Dimey, Roger Frezin, Arnaud Delbarre, Jenny Clève, Jacques Bonnaffé... La créativité pour Mariette est à son comble.
C'est le 21 juin 2000, jour de l'été où, le soleil atteint son point culminant, que Mariette, licenciée ès Lettres, son poème " Le clown révolutionnaire " étant interprété à l'Ambassade de France à Fès au Maroc lors du festival du Cirque, apprend la disparition brutale de son ami Ronny par suicide. Les études s'arrêtent là. Elle se lie d'amitié avec l'écrivain, acteur et comédien Fred Personne et devient son assistante au sein de la compagnie de théâtre des " Vendanges tardives " située à Paris.
Elle quitte le domicile parental, puis quitte la région laissant derrière elle toutes ses connaissances ou reconnaissances. La tristesse est grande. Elle part enseigner le français en tant que professeur vacataire au collège Léonce Dussarat de Dax dans le Sud Ouest de la France et ne touchera plus à l'écriture, pour elle, synonyme de danger. Aucune trace poétique pendant presque dix ans. Les temps semblent durs pour décrocher une place de contractuelle auprès des Rectorats.
Il y a déception, mais Mariette fait confiance au Destin. Elle marche sur les chemins de Compostelle. Relie avec mère Nature et choisit de vivre comme une saltimbanque en suivant une compagnie de théâtre de villes en villes pendant plusieurs années exerçant ça et là différentes activités professionnelles alimentaires n'ayant pas de liens avec l'écriture. C'est en 2013 que le Destin semble faire son oeuvre et l'on retrouve sa trace à Oloron Sainte Marie en tant qu'auteur, ville berceau du poète Jules Supervielle.
Un CD " Rêve de Cirque " avec le poème le clown révolutionnaire en N°11 sort. Elle entre comme auteur à la SACEM et se met à nouveau à écrire. Actuellement rédactrice pour le magazine Vent d'oc, elle mène sa propre rubrique intitulée " Sucré salé " et travaille en parallèle dans le milieu des fleurs, des arbres et des plantes plus adapté à son profil. On l'aperçoit à nouveau sur scène lors de différentes manifestations pour Livres Sans Frontières, le Printemps des Poètes, les Amis de Jules Supervielle, les 10 ans de Vent d'Oc, Radio Oloron...
Il semble que toutes ces années de silence ont donné toute la maturité à son oeuvre.

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