Journal, poèmes, essais

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Résumé

Ce volume d'ouvres, qui n'appartiennent pas à la fiction, présente un Giono inhabituel, se débattant avec le quotidien : deux journaux, un voyage en Italie et un autre en Espagne, le récit minutieux de l'affaire Dominici et celui de la bataille de Pavie. Ces successions de faits, de données précises à dépouiller et à analyser froidement, auraient pu brider, voire brimer, un romancier. Le réel écrase, mais Giono s'en débrouille, quitte à l'arranger parfois à sa convenance.
L'homme de Manosque va s'incorporer mentalement et physiquement à son récit : « Je me suis efforcé de décrire le monde, non pas comme il est, mais comme il est quand je m'y ajoute, ce qui évidemment ne le simplifie pas ». Ailleurs, il avouera plus banalement cette conception romantique selon laquelle « quoi qu'on fasse, c'est toujours le portrait de l'artiste par lui-même que l'on fait ». Aussi ne sommes-nous pas surpris de découvrir que Giono n'a que rarement utilisé le journal comme véhicule de son art, son ouvre - romanesque ou non - étant toute entière empreinte de sa vie.
Ce volume nous est d'autant plus précieux qu'une seule fois, mû par le « besoin d'une sérieuse discipline de l'esprit et du corps », Giono se sera livré à la rédaction d'une chronique personnelle, spontanée, parfois impulsive, - un Journal de l'occupation d'un Giono que nous ne connaissions pas.

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À propos de l'auteur

Jean Giono

Biographie de Jean Giono

Jean Giono est né le 30 mars 1895 à Manosque en Haute-Provence. Son père, italien d'origine, était cordonnier, sa mère, repasseuse. Après des études secondaires au collège de sa ville natale, il devient employé de banque jusqu'à la guerre de 1914, qu'il traverse comme simple soldat. En 1919, il retourne à la banque. En 1920, il épouse une amie d'enfance, Élise. Ils auront deux filles, Aline et Sylvie.
Lorsqu'en 1930 la banque qui l'emploie ferme sa succursale de Manosque et lui offre une situation ailleurs, il choisit de rester dans sa ville, et de quitter tout à fait la banque pour la littérature. Il fut aussi historien et scénariste. Dans l'ouvre de Giono, la nature tient une grande place. Il a toujours aimé les arbres. Quand il était petit, il allait se promener en compagnie de son père.
Tous deux emportaient dans leurs poches des glands qu'ils plantaient dans la terre à l'aide de leur canne, en espérant qu'ils deviendraient de superbes chênes. Jean Giono est mort le 9 octobre 1970.

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