Kasbas berbères, De l'atlas et des oasis - Les grandes architectures du Sud marocain

Salima Naji

(Préfacier)

,

Théophile-Jean Delaye

Note moyenne 
Henri Terrasse - Kasbas berbères, De l'atlas et des oasis - Les grandes architectures du Sud marocain.
A l'époque du protectorat français au Maroc des années 1912 à 1956, la bibliothèque de "la Résidence" contenait quelques trésors issus des commandes... Lire la suite
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Résumé

A l'époque du protectorat français au Maroc des années 1912 à 1956, la bibliothèque de "la Résidence" contenait quelques trésors issus des commandes que passait alors "le Résident", le maréchal Lyautey, engagé dans une mission ethnographique qui n'a jamais porté ce nom mais qui en avait bien la forme. On y trouve quelques ouvrages remarquables, sur la musique traditionnelle, les arts et traditions, la magie... Enfin, parmi les mieux documentés et illustrés, des ouvrages sur l'architecture urbaine et rurale. Kasbas berbères, est le second ouvrage publié en coédition avec le centre Jacques Berque après Le Jardin et la Maison arabes au Maroc de Jean Gallotti. Remarquable autant pour son aspect patrimonial L que pour la qualité des images, Kasbas berbères est le récit de la fascination d'Henri Terrasse pour l'architecture du Sud marocain.

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/09/2010
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-7427-9336-5
  • EAN
    9782742793365
  • Présentation
    Relié
  • Nb. de pages
    181 pages
  • Poids
    0.764 Kg
  • Dimensions
    20,0 cm × 26,5 cm × 2,1 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Henri Terrasse

Héritier de l’École française d’archéologie, premier historien de l’art du Maroc, professeur d’histoire de l’islam et d’art musulman, l’académicien Henri Terrasse (1895-1971), appartient à la génération brillante qui accompagne le maréchal Lyautey dans le protectorat naissant du Maroc et auquel il consacre toute sa carrière. Tout en prenant la direction du service des Monuments historiques, en 1935, le grand chercheur s’illustre par la conduite de fouilles fameuses (Volubilis et les comptoirs romains, la mosquée cathédrale de Tinmal, la Koutoubia de Marrakech, la Qaraouine de Fès…), par les conférences et les publications de l’Institut des hautes études marocaines et par son remarquable travail d’inventaire des architectures en terre du Maroc. Salima Naji, docteur en anthropologie de l’EHESS, architecte DPLG en exercice au Maroc, au chevet de ces mêmes architectures de terre classées par le grand historien, propose une préface critique de cet ouvrage.

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