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En 2021, Modeste Schwartz a commencé, dans ses conversations, avec quelques-uns des esprits éveillés de notre époque, à utiliser le mot "Kovíd", pour parler de ce qui – tout du moins aux yeux du public – a commencé en février-mars 2020, et qu'une majorité dudit public continue encore à prendre pour une "crise sanitaire". A travers cette innovation lexico-graphique, il s'agissait pour lui de manifester non seulement le rejet du récit officiel (de type "OMS") actuellement en cours d'effondrement, mais aussi de prendre ses distances avec les courants de pensée alter-covidistes surgi au cours de l'été 2020, lesquels, stupides ou complices, s'employaient déjà à valider par la bande le récit du mainstream, en l'assortissant de menus addenda (parfois exacts, mais jamais pertinents), sur le "gain de fonction", la "5G" ou "l'Ivermectine".
Autant de façons de ne pas comprendre ce qui venait d'arriver – c'est-à-dire, d'un point de vue sanitaire : pratiquement rien mais, d'un point de vue politique : la fin d'un monde, qui était à la fois celui de la rationalité calculante, de l'universalisme démocratique et du droit afférent à ce dernier – la fin de l'Occident.