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Nous sommes les héritiers de ceux qui sont morts dit-on, les associés de ceux qui vivent et la providence de ceux qui naîtront. C'est tellement vrai que nous acceptons l'héritage gracieux du terme révolution industrielle, appellation donnée par Auguste Blanqui au XIXe siècle à la suite du chamboulement des valeurs qui basculent la société agraire et artisanale vers la transformation d'une autre génération par le commerce et l'industrie du modernisme.
Notamment, le charbon et le fer contribuent vivement à l'amélioration des industries agroalimentaires, énergétiques, métallurgiques et de la cotonnerie.
Ils engendrent la mécanisation, une forte augmentation dans le secteur manufacturier, spécialement après l'invention de la machine à tisser extrêmement rapide et productrice mise en scène par Richard Arkwright en Angleterre.
Enfin, les ouvriers gagnent assez bien, travaillent plus de 12 heures par jour dans des usines peu aérées et sales. Ils provoquent malgré tout l'exode rural. Cependant, l'industriel Robert Owen tente d'améliorer leur condition.
Reconnaissons aussi que les productions agricole et artisanale descendent à leur plus bas niveau, car l'industrialisation fracasse l'agriculture, les mines, l'économie, le transport…
Les industriels réalisent en un clin d'œil une fortune considérable et réinvestissent dans les nouvelles technologies.
Désormais, les choses sont bien changées et la fin de l'interminable guerre napoléonienne (1814-1825) jette sur le marché du travail une main-d'œuvre excessive qui fait baisser non seulement les salaires mais ouvre aussi grandement les portes du chômage.
Nous voilà donc au XXIe siècle avec un héritage néfaste, lourd et détestable que je rejette catégoriquement.
En fait, le chômage épouse la pauvreté et avec une telle alliance qui fait trembler la majorité des pays de cette planète.
Il est vrai que l'industrialisation engendre la technologie et l'informatisation qui sont mêmes inventeurs de beaucoup de choses pour le confort et le bien-être de l'homme, plus nous plongent à coup sûr dans les tréfonds du chômage et de la pauvreté.
Constatons que le capitalisme, le communisme et d'autres approches veulent la félicité qui permet de satisfaire les besoins de l'existence et faillassent tous dans cette mission…
Nous héritons certainement le chômage, la pauvreté de nos ancêtres, vivons avec nos confrères dans un monde qui leur appartient et nous voulons en toute finalité être la providence des générations futures dans un monde dépourvu de ces maux.
Voici sur ce que veut le simplicisme.