La compagnie noire, la dernière des compagnies franches de Khatovar, une troupe de mercenaires dépourvue de sens moral. Ils travaillent pour ceux qui paient. Ce livre, et ceux qui suivent, sont des extraits des annales de la compagnie, écrits par Toubib.
Nous avons là un univers de dark fantasy assez classique, avec tout de même une particularité: tout est écrit selon un point de vue objectif, celui du médecin de la compagnie. D’après lui, ils sont clairement enrôlés dans le camp du mal, à supposer qu’il y ait des gentils et des méchants. Ils sont au service de la Dame, et
des Asservis, et essaient d’exterminer les armées rebelles. Rapidement on comprend que le monde n’est pas tout noir ou tout blanc.
On s’attache beaucoup aux personnages, à ces mercenaires dont on ignore tout de leur passé. Ils ont fait une croix dessus en s’enrôlant dans la compagnie, et on apprend à les connaître d’après leurs surnoms. La compagnie, c’est comme une famille, ils se serrent les coudes. Toubib, Qu’un œil, Gobelin, Silence, Corbeau... ils ont tous leur personnalité, et même si aucun d’eux n’est un enfant de cœur, ils ne se laisseront pas tomber !
Perso j’ai adoré. Ça se dévore de bout en bout, une ambiance bien sombre, stressante. Et ça ne va pas en s’arrangeant.
Immersif !
La compagnie noire, la dernière des compagnies franches de Khatovar, une troupe de mercenaires dépourvue de sens moral. Ils travaillent pour ceux qui paient. Ce livre, et ceux qui suivent, sont des extraits des annales de la compagnie, écrits par Toubib.
Nous avons là un univers de dark fantasy assez classique, avec tout de même une particularité: tout est écrit selon un point de vue objectif, celui du médecin de la compagnie. D’après lui, ils sont clairement enrôlés dans le camp du mal, à supposer qu’il y ait des gentils et des méchants. Ils sont au service de la Dame, et des Asservis, et essaient d’exterminer les armées rebelles. Rapidement on comprend que le monde n’est pas tout noir ou tout blanc.
On s’attache beaucoup aux personnages, à ces mercenaires dont on ignore tout de leur passé. Ils ont fait une croix dessus en s’enrôlant dans la compagnie, et on apprend à les connaître d’après leurs surnoms. La compagnie, c’est comme une famille, ils se serrent les coudes. Toubib, Qu’un œil, Gobelin, Silence, Corbeau... ils ont tous leur personnalité, et même si aucun d’eux n’est un enfant de cœur, ils ne se laisseront pas tomber !
Perso j’ai adoré. Ça se dévore de bout en bout, une ambiance bien sombre, stressante. Et ça ne va pas en s’arrangeant.