Les grands contes d'Andersen - Album

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Anastassija Archipowa et Hans Christian Andersen - Les grands contes d'Andersen.
Le talent merveilleux de Hans Christian Andersen a traversé le temps et résisté aux modes. Chaque nouvelle génération découvre l'enchantement de... Lire la suite
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Résumé

Le talent merveilleux de Hans Christian Andersen a traversé le temps et résisté aux modes. Chaque nouvelle génération découvre l'enchantement de le lire, ou de le relire pour le simple plaisir de se replonger dans l'univers subtil et singulier de ses contes. Animaux ou êtres fantastiques, les personnages d'Andersen ont tous un cœur humain et nous font partager leurs sentiments les plus tendres comme leurs émotions les plus violentes.
Ce recueil rassemble huit beaux contes parmi les plus célèbres d'Andersen, merveilleusement illustrés par l'artiste russe Anastassija Archipowa qui vit à Moscou où elle a suivi les cours de l'école des Hautes études artistiques de WI Surikov.

Caractéristiques

  • Date de parution
    30/10/2001
  • Editeur
  • ISBN
    2-226-11860-8
  • EAN
    9782226118608
  • Format
    Album
  • Présentation
    Relié
  • Nb. de pages
    190 pages
  • Poids
    1.105 Kg
  • Dimensions
    21,5 cm × 29,5 cm × 2,1 cm

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À propos des auteurs

Andersen est né le 2 avril 1805 à Odense, au Danemark, dans une famille très pauvre. Son père, cordonnier, avait épousé une femme plus âgée que lui, très superstitieuse et presque illettrée. Son grand-père passait pour fou et sa grand-mère semblait sans cesse perdue dans ses rêveries. Malgré l'extrême indigence de la famille, le jeune Hans Christian apprit quand même à lire chez une voisine. Il fréquenta même une école privée. À quatorze ans, en 1819, il part pour Copenhague. Son rêve est de devenir auteur dramatique. Après trois ans de revers, la chance lui sourit enfin. En 1822, il rencontre un directeur de théâtre qui deviendra l'ami et le mécène qu'il cherchait. Grâce à son aide financière, il entre au collège de Slagelse. C'est en 1827 qu'il passe son baccalauréat. Il entre à l'université en octobre 1829. Il y acquiert une solide culture et y écrit beaucoup de poèmes, de pièces de théâtre et un ouvrage intitulé Essais de jeunesse. Son nom devient familier au public danois à partir de 1829 avec un poème en prose, dans le genre fantastique, Voyage à pied du canal de Holmen à la pointe Est d'Amager. L'année 1830 marque un tournant décisif mais contrasté dans la vie d'Andersen. Il réalise de nombreux voyages mais il est très malheureux en amour. Il obtient une bourse et visite l'Allemagne et la Suisse à la découverte des hommes et de leurs histoires. Il en tirera un recueil, Images d'un voyage dans le Harz et la Suisse saxonne, qui révèle son talent d'observateur, sa passion pour les antiquités légendaires, sa sympathie pour le petit peuple. Il obtient une nouvelle bourse de voyage en 1833, cette fois pour la France et l'Italie. C'est Rome qui servira de cadre à son premier roman, L'Improvisateur (1835), dont le succès est très grand puisqu'il sera traduit presque aussitôt en allemand, en italien et en français. C'est probablement par pure fantaisie ou par amusement qu'il se met à écrire, en 1835, en Italie ses premiers contes, ne se doutant guère qu'ils allaient le rendre célèbre. Son premier livre, Contes pour les enfants, rencontre immédiatement un très grand succès. Les contes ont été traduits en quatre-vingts langues. Les contes d'Andersen ont le mérite d'être accessibles à tous, quelles que soient les différences de milieux, de cultures ou de nationalités. Ils constituent une œuvre universelle par excellence. Andersen publiera dès lors un recueil par an et son succès ne se démentira jamais. Au dire de ses contemporains, Andersen savait merveilleusement raconter des histoires. Il était passé maître dans l'art d'improviser oralement et d'écrire tour à tour récits populaires ou légendes léguées par la tradition orale, définissant ainsi le folklore scandinave. Il écrivit en tout cent soixante-huit contes dont nul n'est macabre, sinistre ou totalement effrayant. Chacun témoigne du regard d'enfant d'Andersen, plein d'imagination, d'émerveillement et empli d'humour tendre et d'étonnement admiratif devant la vie. Il mourut à Copenhague le 4 août 1875.

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