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Créer un logo, relooker un portable, aménager l’espace d’une gare… Les designers sont sur tous les fronts. Avec des modes d’exercice variés : de la petite agence qui privilégie la polyvalence à l’entreprise où l’activité est plus délimitée. Autre choix : le free-lance, avec la nécessité de démarcher une clientèle. Il n’est pas évident de se faire une place dans ce petit milieu professionnel sensible aux aléas de l’économie.
Sortiront du lot les jeunes diplômés qui ont des idées neuves et une pratique des nouvelles technologies. Les créneaux porteurs traités dans ce numéro : l’identité visuelle, le packaging, l’architecture commerciale, le design numérique ou l’animation. Dans ce numéro, le lecteur retrouvera les métiers sous forme de fiches et les filières de formation. 4 ou 5 ans d’études, c’est un minimum pour aborder la conception de projet.
À bac + 2/3, on accède plutôt à des postes d’assistant, de maquettiste… Dans tous les cas, un book convaincant fera la différence. Tout comme le séjour à l’étranger, gage d’une ouverture d’esprit. On attend aussi du professionnel qu’il franchisse les frontières entre le graphisme, le produit et l’espace.