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" L'existence d'Alonso de Contreras, racontée par lui-même : le plus beau roman picaresque connu, parce que vécu. " Fernand Braudel José-Maria de Hérédia n'a pu finir sa traduction des Mémoires d'Alonso de Contreras... Découverts à la fin du XIXe, ils sont le plus beau récit d'aventures sur terre et sur mer écrit par un capitaine de l'Ordre de Malte, au début du XVIIe siècle. Ils nous racontent la guerre de course des galères en Méditerranée, les abordages entre galions espagnols et corsaires anglais, les expéditions sous le soleil des côtes barbaresques.
Alonso de Contreras a séduit, de son vivant, Lope de Vega qui lui dédia sa pièce Le Roi sans royaume. Plus près de nous, son histoire a enthousiasmé Ernst Jünger, José Ortega y Gasset et Fernand Braudel. " Nous ne saurions assez bénir ces hasards rares qui ont fait prendre la plume à Grimmelshausen et à Commynes, à Cervantès et à Contreras... Il faut absolument le lire. " Jünger " L'exemple extrême et chimiquement pur de l'aventurier.
" Ortega y Gasset " L'existence d'Alonso de Contreras, racontée par lui-même : le plus beau roman picaresque connu, parce que vécu. " Braudel