Portfolio Vincent Van Gogh - 9 peintures - Grand Format

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Caractéristiques

  • Date de parution
    16/09/2021
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-35988-254-4
  • EAN
    9782359882544
  • Format
    Grand Format
  • Nb. de pages
    18 pages
  • Poids
    0.24 Kg
  • Dimensions
    21,2 cm × 29,0 cm × 0,4 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Scala

Né le 30 mars 1853 dans un village du Brabant, d'un père pasteur, le jeune Vincent Van Gogh travaille dès l'âge de seize ans pour la maison d'art Goupil. Après un court séjour dans la succursale londonienne, il cherche sa voie et pense suivre lui aussi une carrière de pasteur. Il devient alors vicaire en Angleterre et, après avoir quitté la maison Goupil et être rentré chez ses parents, prépare le concours de pasteur, mais ne le passe pas.
Il préfère aller dans le Borinage belge, auprès des mineurs dont les conditions de vie le touchent. A 27 ans, encouragé et soutenu financièrement par son frère Théo (1857-1891), qui travaille avec succès à Paris pour la maison Goupil, il décide de se consacre entièrement à la carrière artistique. Travaillant seul, ou parfois auprès de son oncle l'artiste Anton Mauve (1838-1888), il aime surtout peindre en plein air.
Inspiré par la description de la vie paysanne des peintres Jean-François Millet (1814-1875) ou Jules Bastien-Lepage (1848-1884) qu'il a pu découvrir dans les musées londoniens, il commence à envoyer ses toiles à son frère, notamment son premier tableau, Les Mangeurs de pommes de terre (1885, Van Gogh Museum). Désireux de poursuivre son apprentissage, il part à Anvers pour intégrer l'académie d'art en 1885, mais il ne s'y plaît pas, rejetant l'enseignement trop académique.
Il préfère rejoindre Théo à Paris. Il suit alors les cours de l'atelier Fernand Cormon (1845-1924) où il rencontre Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) et Emile Bernard (1868-1941) avec qui il expose dans les cafés montmartrois. Pendant deux ans, inspiré par l'impressionnisme, Van Gogh développe un style fait de couleurs saturées et contrastées, de touches saccadées et vives, de contours marqués.
Grâce à Théo, il découvre les estampes japonaises qui sont une véritable révélation : la perspective axonométrique, l'importance du motif transforment son style. Il organise même avec son frère des ventes d'estampes japonaises et en copie certaines. En quête de tranquillité et de soleil, il quitte Paris pour le sud de la France, avec le rêve d'y monter un atelier d'artiste. Dans un état fragile, entre moments de dépression et frénésie créative, il peint beaucoup.
Peintre de la lumière, il s'intéresse particulièrement à la lumière nocturne et au contraste entre lumière naturelle et artificielle, comme dans La Nuit étoilée (1888, musée d'Orsay). En octobre 1888, Paul Gauguin (1848-1903), qu'il n'a jamais vraiment rencontré, le rejoint grâce à Théo. Même si les deux hommes travaillent avec ardeur, leur point de vue sur la peinture est irréconciliable. Si pour Van Gogh, il faut trouver une façon de rendre honnêtement ce que l'on voit, Gauguin préfère fantasmer la réalité.
Après avoir menacé son camarade avec un rasoir à la suite d'une dispute et de l'annonce de Gauguin de sa volonté de partir, le peintre, dans un grand état d'agitation, se coupe l'oreille, l'enroule dans du papier journal et l'apporte à une prostituée qu'il fréquente. Cette dernière l'ayant dénoncé, le lendemain demain matin, la police vient le chercher dans cette fameuse chambre qu'il peindra trois fois, pour l'emmener à l'hôpital.
A sa sortie, dans un état instable, il est interné à Saint-Rémy au mois de mai 1889. Là, pendant l'année de son séjour, il demande une chambre avec une fenêtre qu'il transforme en atelier et peint ce qu'il voit, notamment les fameux Iris (1889, J. Paul Getty Museum). Il compose en tout plus de 150 oeuvres durant son séjour et réussit à stabiliser son état mental. Parallèlement, et contrairement à la légende, certaines de ses oeuvres sont montrées, notamment à Bruxelles, ou même vendues, comme La Vigne rouge (1888, musée Pouchkine).
En 1890, il retourne auprès de son frère et s'installe à Auvers-sur-Oise. Sous l'oeil bienveillant du D Gachet, il travaille à nouveau avec ardeur. Mais le poids financier qu'il pense être pour son frère et ses difficultés mentales le plongent dans de grands moments de dépression et de découragement. Le 27 juillet 1890, il met fin à ses jours en se tirant une balle dans la poitrine. Un an après, Théo meurt à son tour.
La célébrité de Van Gogh arrivera grâce aux efforts de la veuve de son frère, Jo, qui ne cessera de montrer son travail, notamment en Allemagne. Laufe-Caroline Gemmer

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