En cours de chargement...
On les nommait les Verdingkinder, les enfants "placés". Livrés à l'adoption dans des familles d'accueil, ou internés de force dans un institut, parce que leurs parents pris dans la spirale de la pauvreté ne pouvaient plus subvenir à leurs besoins, ou parce que des filles-mères perturbaient l'ordre établi de la société. (...) Sur ce fond noir d'amertume, cet auteur sensible et profond a le mérite de projeter une lumière d'espoir, surgissant du fond de l'âme de trois enfants cabossés, auxquels il consacre ses pages.
(Fabio Lo Verso, extrait de la préface).