Une histoire bouleversante, un sujet tabou (hélas) et délicat, un récit poignant.
Il y a une telle force et une telle puissance dans ces mots qui frappent, cognent, bousculent, émeuvent, révoltent.
Tout démarre par des actes ignobles et répétés, d'un aïeul sur sa petite-fille, innocente, qui n'avait rien demandé d'autre que de profiter de sa jeunesse et de l'amour de ses parents.
Maeva en parle, bien sûr, un peu, et avec des phrases percutantes, mais j'ai trouvé que toute la puissance de ce livre se situe dans le "renaître".
Dans cette faculté qu'elle a eu, aidée et soutenue
par un mari exceptionnel, pour dire : je vais vivre, je vais me battre et je vais éveiller les consciences inconscientes.
Pour moi, le sujet de ce récit n'est pas l'inceste, il est le point de départ.
Le sujet profond c'est la révolte, la force et la rage de survivre, le courage de vivre.
Les mots sont parfois durs, évidemment, mais ils sont là pour marquer le lecteur.
Maeva, avec la plume de Marc Gervais, nous parle sans détour, avec une certaine pudeur, mais en toute sincérité.
Elle est à la fois très sensible et très forte.
On va découvrir ce cheminement depuis la prise de conscience, puis la colère, la révolte, le combat, et la reconstruction.
Je me suis pris des coups de poing émotionnels durant toute ma lecture.
Le livre refermé, je reprends d'abord mon souffle, et je dis BRAVO.
Bravo pour ce combat, bravo pour ce courage, bravo pour cette réussite, bravo et merci pour ce partage.
Bravo d'avoir eu la force de parler, et de nous avoir transmis tant de choses.
Madame Bigourie, votre livre est une ode à la vie.
Parce que votre récit ouvre le regard et la conscience, ce livre devrait être étudié en classe.
Vous dites " Un enfant qui parle est un enfant qui se sauve".
J'ajouterai "Un adulte qui parle sauve un enfant".
Une force et une volonté inouïes. Une ode à la vie
Une histoire bouleversante, un sujet tabou (hélas) et délicat, un récit poignant.
Il y a une telle force et une telle puissance dans ces mots qui frappent, cognent, bousculent, émeuvent, révoltent.
Tout démarre par des actes ignobles et répétés, d'un aïeul sur sa petite-fille, innocente, qui n'avait rien demandé d'autre que de profiter de sa jeunesse et de l'amour de ses parents.
Maeva en parle, bien sûr, un peu, et avec des phrases percutantes, mais j'ai trouvé que toute la puissance de ce livre se situe dans le "renaître".
Dans cette faculté qu'elle a eu, aidée et soutenue par un mari exceptionnel, pour dire : je vais vivre, je vais me battre et je vais éveiller les consciences inconscientes.
Pour moi, le sujet de ce récit n'est pas l'inceste, il est le point de départ.
Le sujet profond c'est la révolte, la force et la rage de survivre, le courage de vivre.
Les mots sont parfois durs, évidemment, mais ils sont là pour marquer le lecteur.
Maeva, avec la plume de Marc Gervais, nous parle sans détour, avec une certaine pudeur, mais en toute sincérité.
Elle est à la fois très sensible et très forte.
On va découvrir ce cheminement depuis la prise de conscience, puis la colère, la révolte, le combat, et la reconstruction.
Je me suis pris des coups de poing émotionnels durant toute ma lecture.
Le livre refermé, je reprends d'abord mon souffle, et je dis BRAVO.
Bravo pour ce combat, bravo pour ce courage, bravo pour cette réussite, bravo et merci pour ce partage.
Bravo d'avoir eu la force de parler, et de nous avoir transmis tant de choses.
Madame Bigourie, votre livre est une ode à la vie.
Parce que votre récit ouvre le regard et la conscience, ce livre devrait être étudié en classe.
Vous dites " Un enfant qui parle est un enfant qui se sauve".
J'ajouterai "Un adulte qui parle sauve un enfant".