« Mais si tu te sens toujours trop lâche, rappelle-moi. »
Kazuya Kinoshita, étudiant banal, vient tout juste de se faire larguer par sa petite amie. Au fond du trou, il décide d’installer l’application en vogue Diamond, qui permet de faire appel aux services d’une petite amie de location. C’est comme ça qu’il fait la connaissance de la belle et inaccessible Chizuru Mizuhara qui, à première vue, a tout pour lui plaire.
Comme son titre l’indique, Rent-a-Girlfriend traite d’un sujet peu commun et qui peut paraître déroutant en comparaison avec les traditionnels rom-coms
que l’on voit aujourd’hui dans le monde des mangas. Dans ce sens, ce premier tome est un début solide mais qui reste classique et dans lequel vienne se glisser quelques défauts visibles.
Côté dessin, et bien que certains personnages soient complètement ratés, on apprécie facilement le coup de crayon de Reiji Miyajima qui bonifie les traits physiques de ses personnages, surtout ceux du sexe féminin. Au niveau du rythme, ces premiers chapitres s’enchainent plutôt bien, sans passer par quatre chemins, dans lesquels on trouve une fluidité très appréciable lors de la lecture.
Néanmoins, la partie « com » passe complètement à la trappe : certains passages arrivent à nous décrocher un sourire mais on fait plutôt face à une succession de situations gênantes voir déprimantes et les passages qui provoquent le rire se font ainsi très rares. Les facilités scénaristiques, bien qu’elles ne dérangent pas à la lecture, restent malheureusement trop évidentes. Enfin, c’est le comportement des personnages eux-mêmes qui porte à confusion : ils sont soient fous, soient complètement pathétiques dans leur façon de penser ou d’agir.
Au final, ce début de Rent-a-Girlfriend ne révolutionne rien, loin de là. Même s’il s’agit ici d’une introduction classique, les nombreux défauts se font déjà ressentir. Ces derniers n’entachent pas totalement la qualité du récit mais posent déjà question sur le futur de la série. En espérant qu’elle ne suit pas un destin funeste et que les points d’améliorations seront présents dès le prochain tome.
Brille comme le Diamond
« Mais si tu te sens toujours trop lâche, rappelle-moi. »
Kazuya Kinoshita, étudiant banal, vient tout juste de se faire larguer par sa petite amie. Au fond du trou, il décide d’installer l’application en vogue Diamond, qui permet de faire appel aux services d’une petite amie de location. C’est comme ça qu’il fait la connaissance de la belle et inaccessible Chizuru Mizuhara qui, à première vue, a tout pour lui plaire.
Comme son titre l’indique, Rent-a-Girlfriend traite d’un sujet peu commun et qui peut paraître déroutant en comparaison avec les traditionnels rom-coms que l’on voit aujourd’hui dans le monde des mangas. Dans ce sens, ce premier tome est un début solide mais qui reste classique et dans lequel vienne se glisser quelques défauts visibles.
Côté dessin, et bien que certains personnages soient complètement ratés, on apprécie facilement le coup de crayon de Reiji Miyajima qui bonifie les traits physiques de ses personnages, surtout ceux du sexe féminin. Au niveau du rythme, ces premiers chapitres s’enchainent plutôt bien, sans passer par quatre chemins, dans lesquels on trouve une fluidité très appréciable lors de la lecture.
Néanmoins, la partie « com » passe complètement à la trappe : certains passages arrivent à nous décrocher un sourire mais on fait plutôt face à une succession de situations gênantes voir déprimantes et les passages qui provoquent le rire se font ainsi très rares. Les facilités scénaristiques, bien qu’elles ne dérangent pas à la lecture, restent malheureusement trop évidentes. Enfin, c’est le comportement des personnages eux-mêmes qui porte à confusion : ils sont soient fous, soient complètement pathétiques dans leur façon de penser ou d’agir.
Au final, ce début de Rent-a-Girlfriend ne révolutionne rien, loin de là. Même s’il s’agit ici d’une introduction classique, les nombreux défauts se font déjà ressentir. Ces derniers n’entachent pas totalement la qualité du récit mais posent déjà question sur le futur de la série. En espérant qu’elle ne suit pas un destin funeste et que les points d’améliorations seront présents dès le prochain tome.