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Clarissa vit dans l’angoisse. Où qu’elle aille, quoi qu’elle fasse, Raffe est là. Il la couvre de présents, dont elle ne veut pas. Il ne cesse de l’appeler, mais elle se refuse à répondre… Il se croit chevalier servant mais ressemble plutôt à un ogre angoissant.
Un thriller haletant, excellent, que vous lirez d’une seule traite.
Jean doit rester chez sa grand-mère quelques jours, qui se transformeront en années. Sauf que bon, autant le dire, Mémé Lucette, elle est pas très rigolote… Il dort sur un matelas, mange de la soupe, va voir Pépé Lucien au cimetière, et en plus quand il y a de l’orage la voisine de dessus vient dormir chez eux !
C’est drôle, léger, parfois elle nous arrache une larme au coin de l’œil, mais au final, on passe un bon moment avec Jean et sa vie désorganisée.
« Je ne t’aime plus »… La bonne blague. Après tant d’années d’amour, un mariage, un enfant, ça s’arrêterait comme ça ?
Alors, elle écrit à Ben, elle lui raconte ses souvenirs. Une bouteille à la mer pour lui rappeler leurs bonheurs…
Entre rire et larmes, Virginie Grimaldi signe là un roman de toute beauté, où l’on y découvre que « le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie »
Les déboires et espoirs de Marion, fraîchement célibataire, bien décidée à rencontrer l’homme de sa vie ou à défaut : le prince charmant.
Le problème c’est « Surtout que les hommes bien, c’est pas comme les métros, il n’en passe pas toutes les quatre minutes ! »
Un roman à couper le souffle, où les protagonistes sont passés maître dans l’art du mensonge ou de la manipulation…
N’espérez pas passer à travers les mailles de leurs filets.
Le voyage commence avec le peuple Ashanti, et leur cohabitation avec ces blancs un peu trop envahissant, jusqu’à ce que trois siècles plus tard, nous atteignons l’Amérique, où la situation n’est guère plus enviable…
Trois siècles d’histoires, avec comme fil conducteur, ce collier qui est transmis de génération en génération, de Effia, à James, puis H et Marjorie.
Le chassé-croisé entre les années 1980 et 2000, de tout un panel de personnages, aussi différents les uns que les autres. On redécouvre un New York d’artistes cosmopolites, un New York au prise avec le SIDA, un New York aux multiples facettes et aux blessures profondes…
Marthe hérite de Werner, un bébé « le dernier des nôtres ». Elle cherche son père biologique, un endroit sur où élever cet enfant qui représente tant pour elle. Mais en temps de guerre, aucun choix, aucune voie n’est facile à emprunter.
Werner a d’abord vu une cheville, puis la femme toute entière et il a décidé qu’elle était la femme de sa vie. Afin de la revoir, il provoque un accident en rentrant de plein fouet dans son véhicule…
Le reste tient de l’H/histoire…
Rentrer chez soi plus tôt, pour soulager la nourrice et retrouver les enfants . Découvrir l’innommable…
Un récit glaçant et poignant que nous propose Leïla Slimani ! Un Goncourt incroyable !!
Et si ce n'était pas ce que vous pensiez?
Ted rencontre Lily, lors d’un vol de nuit. De fil en aiguille, il lui raconte sa femme volage, son envie de… la tue. Lily, loin de s’en offusquer, lui propose son aide pour réussir son « projet ».
Mais évidemment, rien n’est aussi simple !
Vous aurez beaucoup de mal à lâcher avant la toute dernière page.