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Un dimanche d'hiver, dans un petit port de pêche, Job réapparaît après trente ans d'errance. Au bar local, sa présence silencieuse et son éternel verre de whisky chaud intriguent une bande de joyeux rêveurs. Autoproclamés les Partisans de la langouste, ils cherchent comment sauver ces dernières - et, par elles, l'humanité devenue folle. A l'affût des échos du monde, l'un de ces utopistes bricole de vieilles radios sur lesquelles il capte des fréquences lointaines.
Prêtant l'oreille aux échanges nocturnes de marins solitaires, il apprend l'existence d'une nouvelle Arche de Noé, une ZAD maritime géante. Le moment est peut-être venu d'incarner ses rêves. La micro-société des Rêves à tenir agrandit le champ des possibles, et son irrévérence réjouissante bouscule l'âpreté du réel. Avec une douce pudeur, elle tisse un écheveau de questions sur soi-même et sur l'autre, sur l'absence, et sur ce qui nous rend dignes du nom d'hommes.
Une fable universelle, toute en humour espiègle et en grâce poétique.
Et si nous réalisions (enfin) nos rêves ?
Dans un petit port de pêche, quelques amis se réunissent le soir au bar du coin. Ils se surnomment Les Partisans de la Langouste et forment le rêve de sauver le monde en pleine dérive. Ces utopistes bien sympathiques cherchent le moyen de concrétiser leurs idées. Vont-ils réussir à « sauter le pas » ? Ce très beau roman, au ton poétique et espiègle, est une agréable parenthèse de lecture tout en chaleur et en humanité lumineuse.